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’homme que ces poètes viennent interroger sur les
hauteurs
, mais une sombre et surhumaine fatalité (Byron), ou « la secrète forc
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re de mon œuvre sait que c’est une atmosphère des
hauteurs
, que l’air y est vif. Il faut être créé pour cette atmosphère, sinon
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ton souverain. Pour la première fois, le ton des
hauteurs
, le ton de celui qui les a conquises, physiquement aussi. Toute l’œuv
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ssai que Robert de Traz intitula Nietzsche et les
hauteurs
23, et qui, posé en face du tableau franco-anglais, fournit un contra