1
e personne ne s’est approché plus que lui du type
idéal
de l’industriel et du capitaliste. Le succès immense de ses livres1,
2
pareilles, composent, au total, la grande Liberté
idéale
et mettent de l’huile dans les rouages de la vie quotidienne. Cette
3
les rouages de la vie quotidienne. Cette Liberté
idéale
réduite au rôle d’huile dans les rouages, n’est-ce pas charmant et pr
4
es, où son prestige ne le cède aujourd’hui qu’à l’
idéal
anglo-saxon du gentleman. Le rabais est notable. On solde. Au rayon d
5
an. Le rabais est notable. On solde. Au rayon des
idéaux
de confection voici le Citoyen du Monde, voici le Bon Européen, voici
6
erken comme chez Garine, même héroïsme dépourvu d’
idéal
, même ardeur épuisante à vivre contre la mort, même fièvre de lucidit
7
fait de lui-même. Je suis tenté de dire : son moi
idéal
, celui auquel il donne sa plus profonde et intime adhésion. Nous avon
8
ux, Nizan, etc., ne laisse plus subsister assez d’
idéal
pour nourrir une révolution. Par là même, il postule une réalité tran
9
n stimulant (une difficulté) non pas un poncif. L’
idéal
d’un artiste protestant, le seul auquel sa foi puisse prétendre, ce n
10
n mal absolu et honteux. C’est ainsi encore que l’
idéal
chrétien de l’amour du prochain a tourné pratiquement à la méfiance s
11
a pensée de Keyserling en disant qu’il oppose à l’
idéal
actuel d’assurances à tous les degrés — idéal antispirituel, mécaniqu
12
à l’idéal actuel d’assurances à tous les degrés —
idéal
antispirituel, mécanique et « formidablement ennuyeux » — un idéal de
13
el, mécanique et « formidablement ennuyeux » — un
idéal
de risque qui redonne à toutes choses leur vivante réalité. Mais tout
14
on humaine menacée par le matérialisme : c’est un
idéal
positif, immédiat parce qu’éternel. Là où Keyserling dit seulement ad
15
ans la vie active et mettre à l’épreuve son grand
idéal
. Que pouvait-il y avoir de plus noble que de partager la vie quotidie
16
: comment concilier son bonheur personnel avec l’
idéal
de rénovation sociale qu’il a conçu ? Et comment trouver le courage d
17
Et comment trouver le courage de se donner à cet
idéal
, dont la réalisation pratique lui répugne encore ? Il s’en rend compt
18
la pensée n’est plus pour elle une justification
idéale
de l’égoïsme ou de l’indifférence, mais une obligation urgente à se r
19
teur de choix et de risque, et non plus un refuge
idéal
. Ne nous en plaignons pas : le risque est la santé de la pensée. ⁂ D
20
ussi, mais continuent d’évoquer la liberté et les
idéaux
supérieurs dont ils s’éloignent de plus en plus. Mais j’ai beau ne pa
21
ent un sentiment que nous jugeons d’autant plus «
idéal
» qu’il exige de nous un moindre sacrifice. (On éloigne l’amour : ain
22
ropose. L’Épargne, autrefois participation de l’
idéal
évangélique de la pauvreté volontaire, c’est-à-dire de la notion de s
23
u sans lien avec la notion de sacrifice ou avec l’
idéal
évangélique et, pour comble, vertu de riche, mais qui retient encore
24
êver dans le sommeil du désespoir à ma perfection
idéale
, je peux rêver ma vocation et ses périls… Kierkegaard nous attend au
25
de gauche pourront trouver la plénitude de leurs
idéaux
incomplets, séparés, et par là même déformés. À mon sens, le fédérali