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de vulgarité non moins artificielle que le lâche
idéalisme
qu’elle combat avec raison ? D’ailleurs, si je vois bien que le propo
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ne occasion de réduire à ses justes proportions l’
idéalisme
scientifique de M. Brunschvicg, philosophe officiel des lumières. De
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umières. De quelles prises, en effet, dispose cet
idéalisme
? se demande M. G. Marcel. L’orgueil tout d’abord, je n’hésite pas à
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avons depuis Platon ce que la démocratie dont cet
idéalisme
n’est après tout qu’une transposition recèle de flatterie. Ce n’est p
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ns les plus exsangues. Je pense quant à moi qu’un
idéalisme
de cette espèce est inévitablement coincé entre une philosophie relig