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que nous avons affaire ici. Et ses prétentions «
idéalistes
» n’y changeront rien. D’ailleurs, voici des déclarations plus nettes
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ecèle de flatterie. Ce n’est pas tout : en fait l’
idéaliste
se substitue inévitablement à l’Esprit — et cette fois nous avons aff
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lus exactement, est un homme du xxe siècle que l’
idéaliste
salue comme son contemporain ; en tant qu’il croit à l’Incarnation et
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gulière incohérence. Et il est évident que si cet
idéaliste
se trouve mis en présence d’un marxiste, par exemple, qui lui déclare
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t et absolu dans ses déterminations, farouchement
idéaliste
et pourtant jamais dupe de ses beaux sentiments lorsqu’il s’y mêle de
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nombre de motifs vitaux négligés par la technique
idéaliste
, d’autre part, il faut vivement louer l’auteur de conserver à chaque