1 les d’équilibrer en nous l’esprit de géométrie. J’ imagine une méthode, une façon d’appréhender la vie, de hiérarchiser nos entr

2 core plus vagues d’ailleurs que ce qu’ils peuvent imaginer de la religion. C’est une forme aiguë de ce que les Anglais appellent

3 , et tend à se réduire à une casuistique. Comment imaginer et comment animer des êtres, lorsqu’à chaque moment de la création in

4 possédait d’autres recours que ceux qu’elle peut imaginer en dehors de la grâce, c’est-à-dire la police des mœurs, l’éducation

5 Goethe, chrétien, païen (avril 1932)r Imaginez un membre de l’Académie des sciences qui serait aussi directeur de la

6 moignages écrits de cette époque qui permettent d’ imaginer ce qu’eût pu être le pendant chrétien du Werther : — « J’ai souffert

7 ctivités, à un degré bien plus profond qu’on ne l’ imagine d’ordinaire en France. En ceci, les Allemands se trouvent être en que

8 ien il est, et c’est l’acte de Dieu, ou bien je l’ imagine , et mon discours est vain. À qui pressent, dans sa réalité brutale, d

9 our ne pas croire assez à ce qu’ils croient, ou s’ imaginent croire. Le repentir ! Le remords ! Le chrétien ne pense pas à son pr

10 gérer, mais dans le sens contraire de celui qu’on imagine . Car, on fait pis que de l’ignorer et même que de le méconnaître : on

11 rnité ? Les philosophes et la raison ne peuvent l’ imaginer que morte. Mais la Bible nous dit qu’elle est la Vie, et que notre vi

12 rs que « Dieu est mort » ou qu’il l’a « tué », il imagine le Retour éternel. Et comme ce Retour éternel paraît exclure toute li

13 re, l’opposition n’est pas aussi profonde qu’on l’ imagine . Il s’agit plutôt d’une succession inévitable. L’individu ne s’oppose