1
e dégage de la lecture de Ma vie et mon œuvre une
impression
de netteté, de solidité, de propreté. Si l’on ajoute à cela le plaisi
2
rlé de lui-même. Mais là où d’autres produisent l’
impression
pénible de se montrer, il arrive chez Kierkegaard une chose extraordi
3
et presque obsédant, ne suffit pas à expliquer l’
impression
de grandeur brutale et grave à la fois qui demeure dans l’esprit, bie