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on égard… » L’on conçoit que Blanche malheureuse,
isolée
, cherchant une sécurité intérieure, ne trouve pas dans ces indignatio
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lle formule. Le héros de la foi, Kierkegaard, « l’
Isolé
», n’a plus rien en lui ni de Faust, ni du Caïn de Byron, il a dépass
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t, le romantisme fut la jeunesse, le passé de « l’
Isolé
». Et l’expression la plus caractéristique de ce nouvel homme, qui a
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, tel que le concevait le dernier siècle, l’homme
isolé
qui cultivait jalousement sa petite vie intérieure, à l’abri de la Dé
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traction, qui n’a pas de mains, mais chaque homme
isolé
a, dans la règle, deux mains, et lorsqu’il porte ces deux mains sur M
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ux assurer sa cohésion humaine, devient à la fois
isolée
et génératrice de schismes. Son attitude est donc doublement antiœcum
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communauté nouvelle et plus solide, où l’individu
isolé
retrouve des contraintes qui le rassurent, et où l’État reprend sa pu
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; et l’individualisme, l’impérialisme d’un homme
isolé
. De même que l’État cesse d’être un vrai État dès qu’il se veut souve
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s, on peut changer de groupe. L’on n’est donc pas
isolé
, comme l’individu se trouve isolé dans une grande ville moderne ou da
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n’est donc pas isolé, comme l’individu se trouve
isolé
dans une grande ville moderne ou dans un vaste État centralisé. D’aut
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le nommerai la nostalgie fédéraliste. Des auteurs
isolés
l’ont fait entendre. Des groupes d’intellectuels ont tenté de formule