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secondaire de son activité. Le but de sa vie n’a
jamais
été de s’enrichir. Son « rêve » était autre, il l’a réalisé comme il
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mbat les techniciens imparfaits. Il ne se demande
jamais
si la technique même la plus perfectionnée mérite les sacrifices qu’e
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ui se donnent une espèce d’autorité en ne parlant
jamais
que par allusions et mots couverts. Il intimide un peu le lecteur qui
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fuse aux truquages, aux trompe-l’œil, ne dissocie
jamais
la recherche du beau et le goût intransigeant du vrai, c’est le trait
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a vie que je suis parfaitement certain de n’avoir
jamais
regretté. » Blanche, anglicane « de naissance », a donc épousé un Ita
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udain que cette femme, qui a subi sans les mettre
jamais
en question les exigences les plus terribles de la société insulaire,
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ce mot exquis : « Il prêche merveilleusement sans
jamais
aucune excentricité. » Elle appelle ceux qui passent à l’Église romai
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stituent « le plus violent réquisitoire qu’on ait
jamais
écrit contre elles ». Pour Rousseau, la montagne, c’est surtout le fo
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ni de pieuse fadeur. La montagne, ne serait-elle
jamais
qu’un écrasant symbole de l’éternité ? — C’est aussi quelque chose qu
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ndaleuse à maints lecteurs. Kagawa ne « décolle »
jamais
de la réalité psychologique et matérielle, et c’est par là que dans s
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éterminations, farouchement idéaliste et pourtant
jamais
dupe de ses beaux sentiments lorsqu’il s’y mêle des motifs tout matér
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it quand il le faut pour mieux vivre et n’en fait
jamais
une affaire. Homme terriblement vivant, tenté, et décrivant ses tenta
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peint, aux prises avec toutes les formes du mal,
jamais
vous ne surprendrez dans ses yeux rien du moralisme glacial des « hon
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ait que protestant veut dire témoin (protestari),
jamais
Gide n’est plus loin du protestantisme que dans cette attitude serein
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ologie et des ruses de l’art, sans que ne s’ouvre
jamais
une perspective poétique ou métaphysique. À cette heure où le monde t
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lus voilées, plus inquiètes qu’elles ne le furent
jamais
. Serait-ce la civilisation toute seule qui les aurait travaillées à c
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r un plan supérieur à toute polémique : s’agit-il
jamais
en effet pour les témoins d’une confession, de faire le compte de leu
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du péché ; un certain ascétisme de la forme, mais
jamais
rien d’explicitement religieux : cela n’a point empêché ces trois rom
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ce, mais comme on craint le risque, que Jésus n’a
jamais
craint. Et c’est en quoi elle révèle la faiblesse de sa théologie. Ca
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atteints par tout ceci. Mais quoi ? Le but ne fut
jamais
de démolir, mais bien plutôt de dénoncer un principe destructeur. C’e
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ès-Haut, et même la plus puissante qu’il nous ait
jamais
été donné, à nous enfants de la terre, de percevoir. » Et certes, on
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particulièrement. Les philosophes ne s’adressent
jamais
à tel homme dans telle situation quotidienne, répète M. Nizan. Et il
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du monde. Et ce fait est nouveau dans l’Histoire.
Jamais
le document n’a été recherché avec une telle avidité. « Ce que je pré
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ds panneaux-réclame qui parlent un langage clair.
Jamais
il ne fut plus facile de reconnaître les choix nécessaires. Désordre,
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oix nécessaires. Désordre, oui, et plus grand que
jamais
. Désarroi ? Non. Les doctrines sont contradictoires ? Les évaluations
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e la connaissance désintéressée, nous ne trouvons
jamais
aucun principe qui unifie. Mais, au contraire, dès que nous nous poso
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lle que l’individualisme avait dissoute. Il n’y a
jamais
eu autant de ligues, de groupements, de partis et d’associations qu’a
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rtis et d’associations qu’aujourd’hui, mais aussi
jamais
moins d’accord réel, jamais plus de haine déclarée. L’amour des homme
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jourd’hui, mais aussi jamais moins d’accord réel,
jamais
plus de haine déclarée. L’amour des hommes, transposé dans la collect
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rde, c’est l’acte le plus révolutionnaire qui ait
jamais
paru dans notre monde. Lui seul suffit à vaincre les destins du siècl
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notre misère matérielle. Mais elles ne pénètrent
jamais
dans l’intimité de notre être, là où réside le désespoir de l’homme q
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mis ? Il est certain que la pensée chrétienne n’a
jamais
eu plus impérieuse ni plus nette vocation. Le lieu, les modes de son
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obéissance sont plus visibles qu’ils ne le furent
jamais
. Si la pensée chrétienne existe, c’est à ce seul niveau où pensée et
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t abandonné dans la plus complète solitude qu’ait
jamais
connue un grand esprit. Un an plus tard, épuisé par la lutte, il tomb
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t terminé les études de théologie, mais il ne fut
jamais
pasteur. Il lui arriva pourtant de prêcher, et ses sermons, réunis so
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zsche, à Dostoïevski, à Pascal. Lui-même ne s’est
jamais
comparé qu’aux grands modèles apostoliques : à saint Paul, à Luther,
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lue qu’il voyait clairement que nul homme ne peut
jamais
se dire chrétien. Cette position paradoxale a permis les interprétati
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me tous les autres, qu’ils imitent, et n’agissent
jamais
seuls. » Mais ce que Dieu exige, c’est précisément le contraire : il
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ntisme, d’anarchie, d’individualisme, on ne parle
jamais
que de révolte, mais d’une révolte, en fin de compte, imaginaire. Car
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« sans Dieu », car nul siècle, comme tel, ne fut
jamais
chrétien, mais bien plutôt de ce qu’elle est sans maîtres, c’est-à-di
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l’on peut reprocher d’être insipide. Rien ne sera
jamais
réel pour tous, si rien d’abord n’est réel pour un seul. Maintenant,
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fie pas que les questions dernières ne s’y posent
jamais
, mais simplement qu’on les y noie. Les hommes préfèrent « mourir impe
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sa bonté fondamentale. L’homme ne s’avouera-t-il
jamais
lui-même que dans les tortures ? y. Rougemont Denis de, « [Compte r
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titudes » mal centrées, purement traditionnelles,
jamais
sérieusement éprouvées ? La foi vraie suppose la ruine de toutes les
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onnu et aimé ? Phrase typique d’un homme qui n’a
jamais
rencontré Dieu en Christ ; pas plus qu’on ne saurait rencontrer la ju
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, dont il fait par ailleurs l’apologie, mais sans
jamais
« déclarer ses valeurs », sans jamais renvoyer à une autorité central
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, mais sans jamais « déclarer ses valeurs », sans
jamais
renvoyer à une autorité centrale qui donnerait la synthèse de ces con
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que de le méconnaître : on prétend, sans l’avoir
jamais
lu, savoir qui il fut, qui il est. Certains ont parcouru les Propos d
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rétienne et naturelle. Or le réformisme moral n’a
jamais
pu influencer le cours des événements. L’histoire est faite d’initiat
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une erreur aggravée. De même l’orthodoxie ne sera
jamais
retrouvée en faisant une somme d’hérésies. Du conflit politique et éc
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rophète local. Certes, aucune église ou secte n’a
jamais
été capable, grâce à Dieu, de se fermer totalement aux inspirations d
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tions du Saint-Esprit. Aucune église ou secte n’a
jamais
nié que son chef réel fût au ciel, mais plusieurs ont agi comme s’il
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, la distinction entre l’Église et l’État n’avait
jamais
été établie d’une manière satisfaisante. Il en résultait, dans le peu
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rce qu’il doit l’être. L’action du chrétien n’est
jamais
partie de la prudente considération des forces dont il croyait pouvoi
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e à la réalité de vous imposer ce que le bon sens
jamais
n’aura pu faire, et c’est la réalité elle-même qui va recourir à la p
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’en cherchent pas les voies et ne les inventeront
jamais
. « Pas de vent favorable pour qui ne sait pas où il va », disait Sénè