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res sans espoir. On en rencontre encore parmi les
jeunes gens
, jusqu’au jour où, comme on dit, sans doute par ironie, « la vie les
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its de la richesse. Les campagnes se vident ; les
jeunes gens
n’ont plus goût à y vivre. Les villes se congestionnent et la jeuness
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qui soit. On vit alors, chez les meilleurs de ces
jeunes gens
, se déclarer une épidémie de suicides, qui ne prit pas toujours la fo
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, Pillau lui montre le sens du sacrifice de « ces
jeunes gens
qui sont entrés dans le malheur la tête haute ». Car ce sont « les je
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ans le malheur la tête haute ». Car ce sont « les
jeunes gens
, qui ne possédaient rien, qui ont écrit les pages héroïques de l’hist