1
sant. Il apporte les plus délicats scrupules à sa
justification
, « prêt à tous les effacements » (p. 59). Là où d’autres triompheraie
2
en ceci : que la pensée n’est plus pour elle une
justification
idéale de l’égoïsme ou de l’indifférence, mais une obligation urgente
3
le renouveau, le sacrifice salutaire et l’unique
justification
de la pensée. Une telle évolution peut paraître favorable à la pensée
4
es les affirmations fondamentales de la Réforme :
justification
par la foi, qui est don gratuit et œuvre de Dieu seul ; opposition de