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nité. Non point parce qu’une morale stoïcienne et
laïque
nous le recommande. Non point à cause de la logique ni même d’une nor
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aissés prendre. C’est tout le procès de la morale
laïque
, ou kantienne, qu’amorce ici Scheler. Je ne veux donner qu’un exemple
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outre aux prudences intéressées de la scolastique
laïque
. Nos après-venants seront sans doute fort étonnés d’apprendre qu’il f
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ieur » du christianisme, de l’Église. L’humanisme
laïque
, autonome, est simplement nié, comme une absurdité, une contradiction