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s l’Évangile. Et en présence de l’intempérance de
langage
qui trop souvent caractérise les chrétiens, affirmons que nous ne sav
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péennes de grands panneaux-réclame qui parlent un
langage
clair. Jamais il ne fut plus facile de reconnaître les choix nécessai
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ge pas la foi de Paul et des apôtres. D’abord, le
langage
scolastique, qui n’est pas proprement luthérien, mais que Luther est
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unité des hommes, conduisit à la division de leur
langage
. Il convient de laisser aux théologiens le soin de définir la doctrin
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c l’effort œcuménique, est en train de recréer un
langage
commun, un ensemble de communes mesures spirituelles. Ce langage au-d
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un ensemble de communes mesures spirituelles. Ce
langage
au-dessus des langages répond exactement aux besoins les plus légitim
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es mesures spirituelles. Ce langage au-dessus des
langages
répond exactement aux besoins les plus légitimes de notre temps. Il n