1 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
1 s l’Évangile. Et en présence de l’intempérance de langage qui trop souvent caractérise les chrétiens, affirmons que nous ne sav
2 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
2 péennes de grands panneaux-réclame qui parlent un langage clair. Jamais il ne fut plus facile de reconnaître les choix nécessai
3 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
3 ge pas la foi de Paul et des apôtres. D’abord, le langage scolastique, qui n’est pas proprement luthérien, mais que Luther est
4 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
4 unité des hommes, conduisit à la division de leur langage . Il convient de laisser aux théologiens le soin de définir la doctrin
5 c l’effort œcuménique, est en train de recréer un langage commun, un ensemble de communes mesures spirituelles. Ce langage au-d
6 un ensemble de communes mesures spirituelles. Ce langage au-dessus des langages répond exactement aux besoins les plus légitim
7 es mesures spirituelles. Ce langage au-dessus des langages répond exactement aux besoins les plus légitimes de notre temps. Il n