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omment expliquer que des centaines de milliers de
lecteurs
, dans une Europe « chrétienne », applaudissent sans réserve aux thèse
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allusions et mots couverts. Il intimide un peu le
lecteur
qui ne se sent pas complice de ses secrets desseins. Au reste, le liv
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de M. Malraux se ressemblent dans le souvenir du
lecteur
: leur tempérament est plus fortement marqué que leurs particularités
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e Baring est entré dans l’intimité de milliers de
lecteurs
français avec un livre d’un rare prestige, Daphné Adeane. On vient de
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t pas dépourvue d’un charme qui attirera certains
lecteurs
, qui agacera un peu les autres. M. Charles Du Bos, dans la très belle
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est sans doute de faire sentir et « réaliser » au
lecteur
le tragique de la durée d’une vie. M. Baring nous fait suivre de sa n
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rtains cas, paraîtra presque scandaleuse à maints
lecteurs
. Kagawa ne « décolle » jamais de la réalité psychologique et matériel
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in purement moral ou immoral où Gide provoque ses
lecteurs
à le juger, sûr d’avance que l’intelligence sera de son côté. — « Cau
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et morales. Nous sommes certains d’intéresser les
lecteurs
de cette revue en citant ici quelques passages de l’étude de Frommel.
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stule le christianisme. Mais c’est en vain que le
lecteur
cherchera la réalité constructive et absolue sur quoi se fonderait ce
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monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)t Le
lecteur
moderne est, paraît-il, un homme pressé, beaucoup plus pressé que ne
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s à l’intellectualisme. Car, — et j’espère que le
lecteur
m’aura compris — ce n’est plus de jeux de l’esprit, d’acrobaties de p
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me paraît renfermer l’essentiel de son livre. Le
lecteur
se sent pris de vertige à découvrir la profondeur et la gravité des c
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e que j’appelle avec joie et reconnaissance : mon
lecteur
. » Kierkegaard savait bien que lorsqu’on parle à tous ou contre tous,
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répète, mais il se peut tout de même que certains
lecteurs
français en soient choqués — le sentiment d’une fraternité humaine qu
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e. Je ne vois pas de meilleur moyen de donner aux
lecteurs
de Foi et Vie une idée, même assez grossière, de la richesse de cet
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C’est sans doute dans cette perspective que le
lecteur
peu familiarisé avec la pensée luthérienne parviendra le plus aisémen
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ares, et chez Luther assez flagrantes, pour qu’un
lecteur
qui refuse l’essentiel soit tout de même attiré et subjugué par le st
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en fait, dans ce Traité, pour heurter de front le
lecteur
incroyant, ou celui qui ne partage pas la foi de Paul et des apôtres.