1 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
1 it, aux yeux de nos contemporains, à un moralisme libéral . Nous savons ce qu’une telle vue a d’injuste, c’est-à-dire d’incomple
2 ilton. Mais le moralisme détendu que la théologie libérale prétendit conserver, fut bientôt réduit au rôle d’une censure tatillo
2 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
3 conception pourrait choquer certains protestants libéraux par exemple. Mais c’est précisément dans la facilité d’interprétation
3 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
4 omber. En cela, ils sont peut-être supérieurs aux libéraux et aux dilettantes qui tombent, eux aussi, mais continuent d’évoquer
5 me, ne mérite pas qu’on le pleure. L’individu des libéraux , c’était, par excellence, un homme sans destin, un homme sans vocatio
6 iomphe des masses. C’est parce que l’individu des libéraux était sans destin, qu’il a cru au destin des autres ; c’est parce qu’
4 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
7 i empêche, en particulier, une certaine théologie libérale de reconnaître que le Dieu de la Bible — ancien et nouveau Testament
5 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
8 nt tous les humanistes, — des marxistes aux vieux libéraux , — y applaudissent ouvertement, mais encore jusque chez les chrétiens
6 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
9 ain de rechercher une solution intermédiaire ou «  libérale  », à mi-chemin des deux erreurs en lutte. Il faut changer de plan, et
10 ’entraîne aucunement un éloge de la « tolérance » libérale à base d’indifférence dogmatique. Car l’harmonie des membres n’est pa