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it, aux yeux de nos contemporains, à un moralisme
libéral
. Nous savons ce qu’une telle vue a d’injuste, c’est-à-dire d’incomple
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ilton. Mais le moralisme détendu que la théologie
libérale
prétendit conserver, fut bientôt réduit au rôle d’une censure tatillo
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conception pourrait choquer certains protestants
libéraux
par exemple. Mais c’est précisément dans la facilité d’interprétation
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omber. En cela, ils sont peut-être supérieurs aux
libéraux
et aux dilettantes qui tombent, eux aussi, mais continuent d’évoquer
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me, ne mérite pas qu’on le pleure. L’individu des
libéraux
, c’était, par excellence, un homme sans destin, un homme sans vocatio
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iomphe des masses. C’est parce que l’individu des
libéraux
était sans destin, qu’il a cru au destin des autres ; c’est parce qu’
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i empêche, en particulier, une certaine théologie
libérale
de reconnaître que le Dieu de la Bible — ancien et nouveau Testament
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nt tous les humanistes, — des marxistes aux vieux
libéraux
, — y applaudissent ouvertement, mais encore jusque chez les chrétiens
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ain de rechercher une solution intermédiaire ou «
libérale
», à mi-chemin des deux erreurs en lutte. Il faut changer de plan, et
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’entraîne aucunement un éloge de la « tolérance »
libérale
à base d’indifférence dogmatique. Car l’harmonie des membres n’est pa