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son dynamisme créateur. Tension dont le débat du
libre arbitre
, opposant Érasme à Luther, permet de définir symboliquement les pôles
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ertions de Luther, ni dans sa négation joyeuse du
libre arbitre
. Ses coups violents n’ébranlent plus que le « vieil homme », celui qu
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nds docteurs de tous les siècles pour soutenir le
libre arbitre
religieux, c’est-à-dire le pouvoir qu’aurait l’homme de contribuer à
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philosophe ou en métaphysicien, que Luther nie le
libre arbitre
. Ceci pourrait suffire, et doit suffire en droit, à réfuter l’objecti
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n vain, si nous avons pu dégager l’alternative du
libre arbitre
, telle qu’elle se pose dans les termes extrêmes où elle revêt sa vrai
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soutenir que l’homme possède au moins « un faible
libre arbitre
»71, dans les choses du salut. Mais que le Christ ait dû mourir — cet