1
era toujours ces victoires. » Nous empruntons ces
lignes
au très bel essai que Robert de Traz intitula Nietzsche et les hauteu
2
a, publiée au Japon sous le titre d’Au-delà de la
ligne
de la mort, en Amérique, en Angleterre, en Allemagne, et en France, s
3
s deux gros volumes si nourris, il n’y a pas deux
lignes
d’allure conventionnelle, deux lignes qui ne traduisent une vérité vé
4
a pas deux lignes d’allure conventionnelle, deux
lignes
qui ne traduisent une vérité vécue et particulière. Telle est la cert
5
pas frappant, en effet, d’appliquer ses dernières
lignes
à des œuvres récentes comme les Faux-monnayeurs de Gide, ou Contrepoi
6
d’indiquer « des positions de résistance », une «
ligne
de retranchement ». Ce négativisme m’apparaît caractéristique de la p
7
athos chrétien que renferme le mot. Ces quelques
lignes
décrivent assez bien le mouvement général de la critique de Scheler.
8
n’a d’autre ambition que d’esquisser les grandes
lignes
de ce développement, et d’en indiquer les articulations. Que l’on exc