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e faite à Genève a révélé que les livres les plus
lus
du grand public sont Ma vie et mon œuvre, de Ford et Mon curé chez le
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On pense à une Genève de l’islam. » Il semble, à
lire
notre auteur, que ce mélange de représentants de ne ordre de toutes l
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que à mon histoire, dit l’auteur dans sa préface,
lisez
-la, et si vous la lisez, ne dites pas à vos amis ce qui arrive avant
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l’auteur dans sa préface, lisez-la, et si vous la
lisez
, ne dites pas à vos amis ce qui arrive avant qu’ils n’aient lu eux-mê
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pas à vos amis ce qui arrive avant qu’ils n’aient
lu
eux-mêmes le livre. J’espère que les critiques ne le diront pas non p
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sement en ces pages — et qui s’explique si l’on a
lu
la phrase par quoi se termine un précédent livre de notre auteur : «
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La Princesse Blanche, Stock, éditeur. 17. Qu’on
lise
, par exemple, l’admirable Goethe, histoire d’un homme, d’Émile Ludwig
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que, sobre et directe plus que tout ce qu’on a pu
lire
de plus vécu sur ces milieux. Finalement, la police accuse Eiichi d’a
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é d’un ruisseau, il passa trois heures et demie à
lire
tout l’Évangile selon saint Matthieu, du premier chapitre au dernier,
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’humanité se retourne contre elle-même). Que doit
lire
un homme pressé, s’il demande aux livres autre chose que ce que peut
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ibuer autant aux philosophes qu’à ceux qui ne les
lisent
plus. Le public se figure que la philosophie est une activité qui ne
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ous croyons réellement à l’opinion publique. Nous
lisons
les journaux, voilà notre réalité. Le dimanche, nous allons quelquefo
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ant l’instant présent se précipite. Ils n’ont pas
lu
Hegel, bien sûr, mais Hegel est dans tous nos journaux, Hegel domine
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s qui demeure dans l’esprit, bien après qu’on l’a
lu
. En vérité, ce résumé laisse à peine entrevoir le véritable sujet de
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journaux qui nous apprendront tout cela. Il faut
lire
Destin allemand, comme on lirait dans la conscience même d’un peuple.
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tout cela. Il faut lire Destin allemand, comme on
lirait
dans la conscience même d’un peuple. Il faut avoir éprouvé par ce liv
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paraît à première vue aussi exorbitante : je n’ai
lu
que de courts fragments des posthuma nietzschéens 66. Ce qui est cert
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grossière, de la richesse de cet ensemble, que de
lire
avec eux les quelques pages de la première partie intitulées Religion
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it il y a quelque mille ans. On croirait presque
lire
du Kierkegaard ! N’est-ce pas Kierkegaard, en effet, qui, cinquante a
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le méconnaître : on prétend, sans l’avoir jamais
lu
, savoir qui il fut, qui il est. Certains ont parcouru les Propos de t