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rsations » ne ressortent nullement de la critique
littéraire
; il arrive qu’elles mettent en jeu de gros problèmes à propos d’ouvr
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ore l’Europe. 14. Dans un article des Nouvelles
littéraires
du 20 février, inaugurant une série d’études sur un nouvel humanisme
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t signalé cette curieuse lacune de notre histoire
littéraire
: pour nos critiques, les Alpes n’avaient pas d’histoire. Enfin, voic
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nnent. Plus encore que par leur valeur proprement
littéraire
et descriptive, elles nous paraissent intéressantes par tout ce qu’el
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qu’il ne ressemble à rien serait une louange trop
littéraire
. C’est un livre entièrement simple qui nous introduit dans la connais
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part de l’auteur, nul parti pris de « réalisme »
littéraire
, mais bien le signe d’une absence d’hypocrisie tout à fait insolite,
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Parlant récemment, dans un article des Nouvelles
littéraires
d’un ouvrage de M. Édouard Martinet, intitulé André Gide, l’amour et
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llé et profond de Gaston Frommel, dans ses Études
littéraires
et morales. Nous sommes certains d’intéresser les lecteurs de cette r
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oyons-nous, n’a relevé, que les grands « succès »
littéraires
de l’année 1931 soient allés à trois romans d’écrivains protestants :
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33. Bilan fort honorable du point de vue purement
littéraire
, si l’on tient compte de la faiblesse numérique des protestants franç
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order cette question sous l’angle de la curiosité
littéraire
ou historique. Elle pose cependant un problème que la conscience inte
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Drang » auquel Goethe devait donner l’expression
littéraire
la plus parfaite avec Werther. Et nous ne manquons pas de témoignages
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umeur de la place. Dans toute la jeune génération
littéraire
et philosophique, c’est en vain que l’on chercherait un « esprit libr
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goût des idées, même et surtout dans des cercles
littéraires
raffinés, était une sorte d’atteinte au « goût » tout court, c’est-à-
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elle de critiques qu’on nomme les « courriéristes
littéraires
». Ce n’est un secret pour personne qu’ils contribuent pour beaucoup
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’extrais cette déclaration du livre d’un critique
littéraire
connu, dont les revues n’hésitèrent pas lorsqu’il parut (en 1936) à l