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gieux qu’annonce cette grande composition : trois
longues
croix dans une lumière dramatique, le corps du Christ déjà presque tr
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érieur de quelques années à Daphné, beaucoup plus
long
, — il compte plus de 600 pages dans l’édition française — d’un rythme
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. Et le tragique qui se dégage lentement de cette
longue
confusion de plaisirs mondains, d’égoïsmes déçus, d’égoïsmes comblés,
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’un des « grands détenteurs de la vérité, dont la
longue
chaîne part des apôtres ». Mais Kierkegaard reste soucieux : Mynster
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la vie : l’existence perd sa fièvre au cours des
longues
heures silencieuses qui s’égrènent une à une dans les solitudes de ro
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a de son aspect physique et de ses pantalons trop
longs
. On montrera sans trop de peine que ses idées sont faites pour rendre
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cation du christianisme véritable ? Épuisé par ce
long
effort démesuré contre son temps, accablé par la réprobation générale
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d’un péril imminent et la conscience de vivre un
long
cauchemar où tout est faux, impossible et réel ; le refus de croire q
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s rénovations sociales et politiques proposées au
long
de ces pages, et qui vont des petites communautés à la fédération du