1 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
1 réveil sentimental et mystique dans une Allemagne luthérienne ravagée par l’Aufklärung et le rationalisme. C’était le temps aussi d
2 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
2 soi — de l’activité des professeurs de dogmatique luthérienne ou d’histoire de l’Église dans les trois Facultés françaises de théol
3 ive que le lecteur peu familiarisé avec la pensée luthérienne parviendra le plus aisément à saisir l’importance centrale du De serv
4 le langage scolastique, qui n’est pas proprement luthérien , mais que Luther est obligé d’utiliser pour débrouiller et supprimer
5 spirituelle, avec un partisan du « serf arbitre » luthérien . (On peut admettre qu’un tel dialogue se déroule même à l’intérieur d
6 tre qui ne tient pas compte de nos exploits ! Un luthérien . — Mais connais-tu seulement les vraies règles du jeu ? Qui t’a fait
7 u qui sauve.) La similitude étonnante du paradoxe luthérien et du paradoxe nietzschéen ne saurait être ramenée à quelque influenc
3 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
8 seconde, correspondant à l’Allemagne en majorité luthérienne , et une troisième correspondant à l’Italie et à l’Espagne catholiques
9 tout en Suède). Un contenu nouveau, calviniste ou luthérien , s’est introduit dans les cadres et les rites anciens, jugés utilisab