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réveil sentimental et mystique dans une Allemagne
luthérienne
ravagée par l’Aufklärung et le rationalisme. C’était le temps aussi d
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soi — de l’activité des professeurs de dogmatique
luthérienne
ou d’histoire de l’Église dans les trois Facultés françaises de théol
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ive que le lecteur peu familiarisé avec la pensée
luthérienne
parviendra le plus aisément à saisir l’importance centrale du De serv
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le langage scolastique, qui n’est pas proprement
luthérien
, mais que Luther est obligé d’utiliser pour débrouiller et supprimer
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spirituelle, avec un partisan du « serf arbitre »
luthérien
. (On peut admettre qu’un tel dialogue se déroule même à l’intérieur d
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tre qui ne tient pas compte de nos exploits ! Un
luthérien
. — Mais connais-tu seulement les vraies règles du jeu ? Qui t’a fait
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u qui sauve.) La similitude étonnante du paradoxe
luthérien
et du paradoxe nietzschéen ne saurait être ramenée à quelque influenc
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seconde, correspondant à l’Allemagne en majorité
luthérienne
, et une troisième correspondant à l’Italie et à l’Espagne catholiques
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tout en Suède). Un contenu nouveau, calviniste ou
luthérien
, s’est introduit dans les cadres et les rites anciens, jugés utilisab