1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
1 st indifférente à ce que nous appelons bonheur ou malheur . Et c’est la vérité seule qu’il s’agit d’attendre. Dans Daphné Adeane
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
2 à l’origine de son entreprise. C’est même un des malheurs de notre temps, que l’action devenue trop rapide suppose une cécité p
3 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
3 sance. Nous nous tournons vers ce prophète de nos malheurs , nous retournons à l’origine où il se tient, nous mettons en lui notr
4 a dépeint ce clerc moderne, accablé par tous les malheurs du temps, dont il feint de se croire victime ou responsable53. De cet
5 ble parmi nous. Il sait bien qu’en tous temps, le malheur de l’époque ne provient pas de ce qu’elle est « sans Dieu », car nul
4 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
6 fice de « ces jeunes gens qui sont entrés dans le malheur la tête haute ». Car ce sont « les jeunes gens, qui ne possédaient ri
7 ll… rien ne rend aussi dur et aussi ardent que le malheur . Rien ne rend aussi brave et aussi passionné, aussi modeste, aussi pa
8 i modeste, aussi patient et aussi endurant que le malheur . Et rien ne fonde une communauté comme le malheur. La communauté des
9 malheur. Et rien ne fonde une communauté comme le malheur . La communauté des gens qui vivent dans l’aisance, celle-là ne vaut p
10 clou. Mais la communauté des gens cimentés par le malheur , ça c’est la seule vraie communauté qui puisse exister pour un peuple
11 phrases de Pillau, n’apparaît-il pas lié au seul malheur des hommes ? Et n’est-ce point là le vrai tragique de l’Allemagne act