1
qu’on sache au juste quelle dose d’« humour » il
met
dans l’expression), c’est la rencontre d’une locomotive routière. « D
2
plus parfait aussi. Son succès sans précédent le
met
à l’abri de toutes les attaques, du point de vue technique. L’organis
3
composent, au total, la grande Liberté idéale et
mettent
de l’huile dans les rouages de la vie quotidienne. Cette Liberté idé
4
ur, aujourd’hui, c’est de démontrer que les idées
mises
en pratique chez nous ne concernent pas particulièrement les autos et
5
sent une vague et intermittente détresse, — qu’il
met
d’ailleurs sur le compte de sa fatigue. Neurasthénie. La conquête du
6
nt de la critique littéraire ; il arrive qu’elles
mettent
en jeu de gros problèmes à propos d’ouvrages bien minces. C’est qu’au
7
que. « Les curés de tous les dieux blancs se sont
mis
à convertir ces idolâtres, ces fétichistes, à leur parler de Luther e
8
t — et cette fois nous avons affaire à quelqu’un.
Mettons
-le en présence du scandale que constitue à ses yeux cette anomalie :
9
Et il est évident que si cet idéaliste se trouve
mis
en présence d’un marxiste, par exemple, qui lui déclare nettement que
10
notre jeunesse le tragique ou le merveilleux, on
mettait
notre volonté aimante, entre toutes les pages, sur toutes les choses.
11
poteries de Palissy. Ce goût de la belle matière
mise
en valeur dans sa pureté, sa nudité, ce sens de l’artisanat qui se re
12
iental contre lequel des Massis mal informés nous
mettaient
naguère en garde. Keyserling voit la cause du développement exagéré d
13
euve » que deux dates limitent : 1851-1914. Ainsi
met
-il en jeu les deux éléments dont l’antagonisme fait le fond de presqu
14
uvre soudain que cette femme, qui a subi sans les
mettre
jamais en question les exigences les plus terribles de la société ins
15
’Université pour se plonger dans la vie active et
mettre
à l’épreuve son grand idéal. Que pouvait-il y avoir de plus noble que
16
un ordre social dont l’avantage évident est de le
mettre
à l’abri de la véritable justice. Il finit par mettre Eiichi à la por
17
re à l’abri de la véritable justice. Il finit par
mettre
Eiichi à la porte. Il lui reste la ressource de se faire instituteur.
18
er. Alors dans un accès de désespoir, il tente de
mettre
le feu à sa maison. Il s’enfuit, et s’engage comme manœuvre dans les
19
les sentiments : doutes, passions, conflits qu’il
met
en jeu, c’est toujours l’absence absolue d’hypocrisie de sa part qui
20
ents » (p. 59). Là où d’autres triompheraient, il
met
une sourdine. Car il sait que la modestie est la vertu de choix du cl
21
ie de Unamuno. Ne détermine rien en nous. Ne nous
met
en demeure ni d’agir, ni d’aimer, ni même de douter fortement. C’est
22
s d’autant plus vivement que le monde actuel nous
met
en demeure d’abandonner tout ce qui, dans notre éthique, s’inspire d’
23
. Ils sont si cordialement ennuyeux quand ils s’y
mettent
que ma vivacité n’y saurait tenir. Rien que des gens d’esprit médiocr
24
otos qui pour la première fois, nous semble-t-il,
mettent
sur notre table le monde tel qu’il est. Quel romancier pourrait nous
25
etour à l’essai rendu nécessaire par le besoin de
mettre
en ordre l’énorme quantité de faits nouveaux que nous découvrons. Ret
26
Que se passerait-il si un beau jour le public se
mettait
à l’école des penseurs ? On verrait éclater, je pense, l’absurdité d’
27
n problème qu’ils placent devant eux et qu’ils se
mettent
à critiquer, comme s’ils n’étaient pas eux-mêmes en jeu ! Mais, dit l
28
le public s’écarta, effrayé. Lorsqu’en 1854 il se
mit
à attaquer de front, avec une extrême violence, le christianisme offi
29
’est pas à sa place là où la vocation de Dieu l’a
mis
. Supposez qu’un tel homme existe. Que va-t-on faire de lui, de ce hér
30
nous retournons à l’origine où il se tient, nous
mettons
en lui notre espoir de trouver un autre chemin : un chemin qui ne mèn
31
cas, je reste bien tranquille. Ce « moi pur » ne
met
pas en cause mon désespoir, ou si l’on veut, je peux rêver dans le so
32
semble, que le salut était déjà venu. Ils se sont
mis
à croire de nouveau que le Messie naîtrait de leurs efforts indéfinis
33
as, eux aussi, d’un « spirituel » préalablement «
mis
au pas » ? Et ne retrouvons-nous pas cette même forme d’esprit sur un
34
polémique catholique (Denifle, Maritain, Grisar),
mettent
le public français en état d’infériorité assez grave, ne fût-ce que s
35
l’être, revient à celle d’un christianisme qui se
met
au service de l’humain (j’entends bien de l’humain purifié, « divinis
36
ernel paraît exclure toute liberté humaine, il se
met
à prêcher l’amor fati, l’adhésion volontaire et joyeuse à la fatalité
37
Du conflit idéologique et religieux résultent des
mises
au pas de plus en plus indiscrètes et des schismes multipliés. Pour r
38
de l’hellénisme. C’est l’homme de la tribu qui se
met
à réfléchir « pour son compte », et qui, de ce fait même, se distingu
39
stants pour mieux accomplir son unification, sa «
mise
au pas ». C’est avec la poussière des individus que l’État fait son c
40
voirs de la vocation personnelle ont toujours été
mis
au-dessus des devoirs envers le Pouvoir politique. Lors donc que la f
41
bsiste en dehors de l’œcuménisme, qui permette de
mettre
en relations des groupes nationaux non étatiques. Ce fait simple inst