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trophient. Pourvu, dit-on, que subsiste le peu de
morale
nécessaire aux affaires, tout ira bien. (On pense que les formes de l
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es, tout ira bien. (On pense que les formes de la
morale
peuvent exister sans leur substance religieuse.) L’homme moderne mani
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rine, d’un Perken, les traits d’une individualité
morale
qui n’est sans doute que l’idée la plus forte que M. Malraux se fait
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e condamnation des passions humaines, et comme la
morale
du roman. Mais nous ne croyons pas qu’une œuvre de cette envergure co
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e cette envergure comporte à proprement parler de
morale
, malgré ce que dit l’auteur dans sa préface. Bien plutôt, elle est l’
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ble argument du bonheur, fondement pratique de la
morale
courante. Presque tous les événements de son roman le contredisent. C
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rkegaard), et dans la Revue de métaphysique et de
morale
. Et voici que l’on annonce de plusieurs côtés21, la publication proch
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ture alpestre. Il contient en puissance toute une
morale
de l’effort individuel et désintéressé, un constructivisme assez aust
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ible à une âme chrétienne d’atteindre la grandeur
morale
si elle n’a pas connu, ne fût-ce que par sa puissance de sympathie, l
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ent. Quant à lui, la complexité vivante de sa vie
morale
n’a d’égale que la violence de ses réactions. Une fois, désespéré, —
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ie profonde. Tels sont les tours que nous joue la
morale
lorsque, se prenant pour fin, elle s’érige en dialectique indépendant
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que spectateur de ses antagonismes. Dès lors, la
morale
qui, pourtant, seule l’intéresse, n’est plus qu’un jeu d’équilibres r
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e se réaliser comme unité. Non point parce qu’une
morale
stoïcienne et laïque nous le recommande. Non point à cause de la logi
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éférence la famille dans sa force de conservation
morale
, alors que le catholique Mauriac s’attarde au spectacle de sa décompo
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assives de la foi ; soit des œuvres d’édification
morale
, au sens littéral du terme : tendance stoïcienne ; soit des œuvres de
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ïcienne ; soit des œuvres de révolte contre cette
morale
— tendance nietzschéenne. Tout ceci ne participant que très indirecte
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a « révélation divine du plus haut principe de la
morale
», tout en vénérant également le soleil, comme une « révélation du Tr
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t à la fois de l’histoire, de la politique, de la
morale
et de la religion. Des livres comme l’Essai sur la France, de E. R. C
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évolutionnaires. (Mort de la pensée et Mort de la
morale
bourgeoise d’E. Berl, manifestes de groupements de jeunes tels que Es
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e » qu’attaquait Nietzsche, c’est, en réalité, la
morale
bourgeoise. Scheler le démontre avec maîtrise dans un chapitre consac
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sont laissés prendre. C’est tout le procès de la
morale
laïque, ou kantienne, qu’amorce ici Scheler. Je ne veux donner qu’un
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n’est pas le chrétien, c’est le bourgeois dont la
morale
usurpe l’apparence évangélique, en haine de l’Évangile et de ses exig
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u’il est urgent que les chrétiens opposent à la «
morale
des commerçants » — comme disait Nietzsche — qui domine notre société
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(Desclée, De Brouwer). 46. Cf. Généalogie de la
Morale
(Mercure de France). 47. Converti au catholicisme après avoir écrit
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rnier méfait de « la foule » dans notre existence
morale
. Une question mal posée. Un regard trouble porté sur la réalité. x.
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royez qu’il y a, à côté de Dieu, encore un dieu :
morale
, devoir kantien, conscience, notion humaine de la justice, science, m
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iorer, conformément à des principes indiscutés de
morale
chrétienne et naturelle. Or le réformisme moral n’a jamais pu influen
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que et économique s’appelle fédéralisme. La santé
morale
et civique s’appelle personnalisme. La santé religieuse s’appelle œcu