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uissance dont l’objet demeure assez incertain. Ce
mystère
qui entoure Perken durant tout le récit, au travers des aventures des
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la plus fringante et bariolée. Il y a là quelque
mystère
; demandons-en l’explication à la Préface d’un si brillant catalogue.
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e, leur a semblé incompréhensible ». C’est que le
mystère
des choses les attire moins que le jeu des passions et des intérêts s
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tait qu’humilité de la raison devant l’insondable
mystère
de Dieu devient, vu de l’extérieur, orgueil de la raison qui juge ce
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une rencontre, un événement, un acte. Et voilà le
mystère
devant lequel je vous laisse maintenant. Nous ne rencontrons personne
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Max Scheler44, Position et approches concrètes du
mystère
ontologique 45, de Gabriel Marcel. L’un et l’autre, ils répondent au
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7, M. Marcel est catholique. Sa méditation sur le
Mystère
ontologique est la première œuvre philosophique qu’il ait publiée dep
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ditation qui se propose pour objet d’approcher le
mystère
indéfinissable de l’être. « Il faut qu’il y ait, dit M. Marcel, ou il
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evient alors tout autre chose qu’un problème : un
mystère
. Et toute démarche pour s’en approcher figure déjà par elle-même une
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scandale d’une éternité seule actuelle ? C’est un
mystère
plus profond que notre vie, et la raison n’est qu’un faible élément d
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n’est qu’un faible élément de notre vie. C’est un
mystère
que le croyant pressent et vit au seul moment de la prière. « Demande
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cise et instante, ne vit-il pas ce paradoxe et ce
mystère
: croire que « l’Éternel est vivant », croire que sa volonté — qui a