1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
1 uissance dont l’objet demeure assez incertain. Ce mystère qui entoure Perken durant tout le récit, au travers des aventures des
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
2 la plus fringante et bariolée. Il y a là quelque mystère  ; demandons-en l’explication à la Préface d’un si brillant catalogue.
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
3 e, leur a semblé incompréhensible ». C’est que le mystère des choses les attire moins que le jeu des passions et des intérêts s
4 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
4 tait qu’humilité de la raison devant l’insondable mystère de Dieu devient, vu de l’extérieur, orgueil de la raison qui juge ce
5 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
5 une rencontre, un événement, un acte. Et voilà le mystère devant lequel je vous laisse maintenant. Nous ne rencontrons personne
6 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
6 Max Scheler44, Position et approches concrètes du mystère ontologique 45, de Gabriel Marcel. L’un et l’autre, ils répondent au
7 7, M. Marcel est catholique. Sa méditation sur le Mystère ontologique est la première œuvre philosophique qu’il ait publiée dep
8 ditation qui se propose pour objet d’approcher le mystère indéfinissable de l’être. « Il faut qu’il y ait, dit M. Marcel, ou il
9 evient alors tout autre chose qu’un problème : un mystère . Et toute démarche pour s’en approcher figure déjà par elle-même une
7 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
10 scandale d’une éternité seule actuelle ? C’est un mystère plus profond que notre vie, et la raison n’est qu’un faible élément d
11 n’est qu’un faible élément de notre vie. C’est un mystère que le croyant pressent et vit au seul moment de la prière. « Demande
12 cise et instante, ne vit-il pas ce paradoxe et ce mystère  : croire que « l’Éternel est vivant », croire que sa volonté — qui a