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e perverti. Il eût conduit le protestantisme à la
négation
absolue de son essence35, si l’humanité ne possédait d’autres recours
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de Dieu, qui sera l’Ordre du Royaume. Et nier une
négation
, c’est s’enfoncer dans le néant. Seule la révolte du chrétien est pos
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é païen de l’idée de Providence, mais surtout une
négation
de la foi ? Car la foi est, selon Kierkegaard, cette opération parado
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icile » dans les assertions de Luther, ni dans sa
négation
joyeuse du libre arbitre. Ses coups violents n’ébranlent plus que le