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uivalent. Peut-être le goût du sport trahit-il la
nostalgie
d’une vie qui comporterait des risques extérieurs. Mais c’est là se c
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e former au spectacle de la chrétienté et dans sa
nostalgie
d’un christianisme vrai. Mais Nietzsche ? Est-ce mépris tout simpleme
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parts, un appel est ressenti : je le nommerai la
nostalgie
fédéraliste. Des auteurs isolés l’ont fait entendre. Des groupes d’in
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ncore là mais aliénés, devenus incapables même de
nostalgie
pour ce qui fut un jour notre vie menacée. Mais il n’est pas de prévi