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etc., ne laisse plus subsister assez d’idéal pour
nourrir
une révolution. Par là même, il postule une réalité transcendante — o
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t. On peut dire que dans ces deux gros volumes si
nourris
, il n’y a pas deux lignes d’allure conventionnelle, deux lignes qui n
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l y avait de plus subversif dans les salons. « Se
nourrir
de romans », dans certains milieux, c’était le commencement de la fin
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tre des doutes qu’à fortifier des espérances ou à
nourrir
des volontés. 1. L’histoire du monde christianisé nous montre que les