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deux ne sont possibles que dans cet acte unique d’
obéissance
à l’ordre de Dieu, qui s’appelle l’amour du prochain. Je dis bien : a
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ni plus nette vocation. Le lieu, les modes de son
obéissance
sont plus visibles qu’ils ne le furent jamais. Si la pensée chrétienn
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t un service rendu au monde que si d’abord il est
obéissance
? Ce ne sont pas les catastrophes qui devraient effrayer le chrétien,
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« humilité » ; la soumission à ceux qu’on hait, «
obéissance
» (c’est-à-dire l’obéissance à quelqu’un dont ils disent qu’il ordonn
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à ceux qu’on hait, « obéissance » (c’est-à-dire l’
obéissance
à quelqu’un dont ils disent qu’il ordonne cette soumission : ils l’ap
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néant. Seule la révolte du chrétien est position,
obéissance
. Si donc l’appel de Dieu isole du monde un homme, c’est que le monde,
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tre à ce point simplifié qu’il n’est plus rien qu’
obéissance
dans la mesure où il agit, et pénitence dans la mesure où sa vocation