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principes qui sont impliqués dans la vision de l’
œcuménisme
. Rien que cela, mais tout cela, avec confiance, mais aussi avec une i
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elle personnalisme. La santé religieuse s’appelle
œcuménisme
. Nous allons définir ces trois termes en insistant sur leur liaison f
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Notre thèse étant la suivante : La théologie de l’
œcuménisme
implique une philosophie de la personne dont l’application est une po
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une politique du fédéralisme. 1. Théologie de l’
œcuménisme
Écartons d’abord le malentendu que pourrait suggérer ce titre : no
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se. Le principal est celui-ci : la théologie de l’
œcuménisme
subsiste et tombe avec la foi dans l’union des chrétiens en Christ, c
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evons affirmer dès maintenant : la théologie de l’
œcuménisme
considère que la diversité des vocations divines n’est pas une imperf
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oit être au moins rappelé ici : la théologie de l’
œcuménisme
ne vise pas à démanteler les orthodoxies existantes, dans les diverse
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vidu dans le plan de la société. Et de même que l’
œcuménisme
retrouve la position spirituelle centrale qui fonde l’union dans la d
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droits des parties. De même que la théologie de l’
œcuménisme
prévient d’une part l’orthodoxie fermée, d’autre part la dissidence o
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n », est également valable sur ces trois plans. L’
œcuménisme
exclut l’orthodoxie fermée, créatrice de schismes, et la dissidence o
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locaux (région, commune, entreprises, etc.) et l’
œcuménisme
reconnaît pareillement leur valeur (églises diverses, paroisses, ordr
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artenances — qui trouverait son équivalent dans l’
œcuménisme
ecclésiastique — est exclue par le régime totalitaire, qui prétend fa
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ion même de l’oppression. Le fédéralisme, comme l’
œcuménisme
, reconnaît que les diversités régionales sont la vie même de l’Union.
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s fortes ». Nous pourrions pareillement définir l’
œcuménisme
et le fédéralisme en remplaçant « âmes » par « églises » et par « rég
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objet était d’établir les relations suivantes : l’
œcuménisme
, le personnalisme et le fédéralisme sont les aspects divers d’une seu
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fédérale. Vouloir le fédéralisme sans accepter l’
œcuménisme
, ce serait priver l’organisation politique de ses fondements spiritue
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que de ses fondements spirituels. Mais accepter l’
œcuménisme
sans vouloir également le fédéralisme, ce serait ne pas accepter vrai
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fédéralisme, ce serait ne pas accepter vraiment l’
œcuménisme
, j’entends avec toutes ses conséquences. Car la foi sans les œuvres n
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ctuellement de trop graves malentendus et abus. L’
œcuménisme
n’a pas à les reprendre à sa charge. Et les peuples européens ne sont
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utilisé et dévié. 4. Mission fédératrice de l’
œcuménisme
Et maintenant nous voici dans le drame de l’année 194173. Nous con
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ut effort fédératif sérieux. 2. La théologie de l’
œcuménisme
, et la philosophie de la personne qu’elle implique, sont les seules b
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e de combattre !) D’autre part, la théologie de l’
œcuménisme
et la philosophie de la personne sont les seules bases actuellement e
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ictement limitée, rien ne subsiste en dehors de l’
œcuménisme
, qui permette de mettre en relations des groupes nationaux non étatiq
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idu isolé-masse militarisée. 5. La théologie de l’
œcuménisme
, la philosophie de la personne et la politique du fédéralisme sont se
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spersées, c’est un arrière-plan spirituel commun (
œcuménisme
), et une vision précise des liens nécessaires unissant cet arrière-pl
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arde du mouvement vers l’union, nous ne verrons l’
œcuménisme
se réaliser avec puissance que dans l’épreuve missionnaire universell
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suit. ab. Rougemont Denis de, « Fédéralisme et
œcuménisme
», Foi et Vie, Paris, septembre–octobre 1946, p. 621-639. ac. Il s’a