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e Ford, telle qu’il la raconte dans Ma vie et mon
œuvre
. Il naît fils de paysan. Il passe son enfance à jouer avec des outils
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sses. Il se dégage de la lecture de Ma vie et mon
œuvre
une impression de netteté, de solidité, de propreté. Si l’on ajoute à
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un second dimanche dans la semaine, « retouché l’
œuvre
de la Création », comme dit Ferrero. Le bon peuple s’extasie. Il ne p
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n transporte. » « Toute notre gloire est dans nos
œuvres
, dans le prix que nous payons à la terre la satisfaction de nos besoi
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t nuisible ». « … Tableaux, symphonies, ou autres
œuvres
destinées à charmer les loisirs de personnes oisives et raffinées, ré
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s les plus lus du grand public sont Ma vie et mon
œuvre
, de Ford et Mon curé chez les riches, de Clément Vautel. Dans les pay
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ictor Cambon, préface à Henry Ford, Ma vie et mon
œuvre
, Paris, Payot, 1925. 3. L’Illustration, 20 novembre 1926. 4. Ici e
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considérable. Sur le bateau qui l’amène à pied d’
œuvre
, il s’associe à un aventurier danois, Perken, personnage énigmatique
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lème central de notre civilisation. À ce titre, l’
œuvre
anarchiste et antichrétienne que Malraux inaugure10 avec La Voie roya
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amenés à donner une « importance » relative à des
œuvres
qui « signifient » plus qu’elles ne « sont ». L’on mesure ici l’écart
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e !) mais un normalien se devrait de savoir que l’
œuvre
missionnaire a consisté, dès le début, à combattre les funestes effet
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t légitimeront aux yeux de beaucoup, le choix des
œuvres
exposées. Il ne s’agit nullement de présenter l’ensemble des artistes
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e un portrait frappant de réalité humaine. Mais l’
œuvre
maîtresse de l’exposition est sans doute la « Crucifixion » de R.-Th.
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beaucoup remarqué la part importante ménagée aux
œuvres
de décorateurs : paravents, vitrines, coffrets, objets ouvragés. Il y
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ère spirituelle qui préside à l’élaboration d’une
œuvre
. Pas de style religieux sans doctrine. Et plus la doctrine se relâche
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t il nous aide à mieux définir le charme de cette
œuvre
inoubliable. Antérieur de quelques années à Daphné, beaucoup plus lon
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onisme fait le fond de presque toutes les grandes
œuvres
romanesques : une individualité et un milieu social bien défini. À ce
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d’une tâche impossible. Car toute la valeur de l’
œuvre
de Baring réside dans sa durée, dans son atmosphère et dans le son qu
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morale du roman. Mais nous ne croyons pas qu’une
œuvre
de cette envergure comporte à proprement parler de morale, malgré ce
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orme le sujet implicite, nous l’avons dit, de son
œuvre
romanesque. Et c’est par tout ce qu’elle contient d’inexprimé qu’elle
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à Londres. C’est peut-être à l’endroit de cette
œuvre
où l’on parle le plus directement de Dieu que Dieu est le plus absent
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ions, et qu’en tant d’autres pages de cette belle
œuvre
, d’une simple indication tranquille et profonde sur l’état d’âme d’un
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ne sans aucun doute l’accord le plus profond de l’
œuvre
de Baring. En voici la conclusion. (C’est Blanche qui parle au père M
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Kierkegaard (mai 1931)i j L’entrée de l’
œuvre
de Kierkegaard dans le monde intellectuel et religieux français, est
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e plusieurs côtés21, la publication prochaine des
œuvres
principales de l’un des plus grands esprits du xixe siècle, du plus
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ssé le romantisme, est la nouvelle psychologie. L’
œuvre
la plus profonde et la plus originale de Kierkegaard est sa Psycholog
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u siècle ne les dépasse. On peut déplorer qu’une
œuvre
de cette envergure ait pénétré d’abord en France, sous les espèces du
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ctions de ses livres. Mais ce Journal, s’il est l’
œuvre
la moins forte du Danois, n’en est pas moins, dans son dosage pré-gid
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e tragique, paradoxale et virulente. Qu’une telle
œuvre
commence son action en France au moment où l’intérêt passionné de bea
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nspiration lyrique ou philosophique génératrice d’
œuvres
marquantes. Qu’aurions-nous à opposer à un Shelley, à un Byron, à un
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rès lui, feront intervenir la montagne dans leurs
œuvres
, elle n’est guère qu’un décor conventionnel, un élément de pittoresqu
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re. « Celui qui sait respirer l’atmosphère de mon
œuvre
sait que c’est une atmosphère des hauteurs, que l’air y est vif. Il f
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qui les a conquises, physiquement aussi. Toute l’
œuvre
de Nietzsche est pleine de repères alpestres. « Comme ces vues précis
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er religieusement par exemple. Que l’on songe à l’
œuvre
d’un Ford, ou à celle de presque tous nos hommes d’État. Le privilège
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n ; sans crainte et sans vanité non plus, car son
œuvre
écrite n’est encore qu’un moyen de servir et d’agir. C’est un homme s
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pris à connaître les résultats considérables de l’
œuvre
sociale, politique et religieuse suscitée par Kagawa. Nous savions qu
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restait à entrer en contact personnel avec cette
œuvre
: Avant l’Aube comble cette attente, mais elle en fait naître une nou
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iptions des lieux où ils vivent. C’est dire que l’
œuvre
mérite l’effort d’attention soutenue que plusieurs chapitres du premi
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nd mieux les raisons de la popularité d’une telle
œuvre
: c’est toute la vie du Japon actuel qu’elle concrétise sous nos yeux
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⁂ Avant de tirer les conclusions qu’impose cette
œuvre
avec l’autorité d’une action, arrêtons-nous quelques instants devant
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s, au contraire ! Mais n’oublions pas que toute l’
œuvre
de Loti est faite du morcellement et de l’adaptation d’un livre uniqu
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en effet, d’appliquer ses dernières lignes à des
œuvres
récentes comme les Faux-monnayeurs de Gide, ou Contrepoint d’Aldous H
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testants qui écrivent ? — Mais voyons d’abord les
œuvres
. La critique à peu près unanime a salué dans Le Scandale la meilleure
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rès unanime a salué dans Le Scandale la meilleure
œuvre
de M. Bost, une espèce de somme romanesque des errements de la jeunes
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vènement d’une littérature nouvelle28, dont cette
œuvre
serait comme le frontispice (aux beaux noirs et gris profonds). Un cr
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rolonge et trouve son expression moderne dans des
œuvres
bien plus caractéristiques d’une éducation protestante ou catholique,
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fût d’ailleurs de la portée religieuse des trois
œuvres
, l’on se sentait tenté de marquer ici d’une pierre blanche « l’année
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général et comme indépendantes des auteurs et des
œuvres
. Délimiter un « parti protestant » dans nos Lettres, n’était-ce point
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utre part nous prêtions des mains complices à des
œuvres
qui relevaient de conceptions nettement a-chrétiennes de la « moralit
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l’esprit français). Cela pouvait donner soit des
œuvres
d’analyse tendant à dissoudre les affirmations massives de la foi ; s
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re les affirmations massives de la foi ; soit des
œuvres
d’édification morale, au sens littéral du terme : tendance stoïcienne
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ittéral du terme : tendance stoïcienne ; soit des
œuvres
de révolte contre cette morale — tendance nietzschéenne. Tout ceci ne
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ous laissent entrevoir ce que pourraient être des
œuvres
modernes inspirées, comme le furent les plus grandes, par le sentimen
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ctives bouleversantes qui manqueront toujours aux
œuvres
nées sous le signe fatal du moralisme. La grande poésie naît du tragi
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. Le jeu consiste uniquement à retrouver dans son
œuvre
des traces qui « malgré tout » révèlent ses origines. Triste jeu. 33
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ces activités et domina constamment sa vie et son
œuvre
. Il n’y a peut-être pas d’individu plus significatif dans l’histoire
57
’homme qui toute la journée a senti peser sur son
œuvre
la menace des forces terribles déchaînées dans le monde contemporain
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beaucoup à déterminer le succès ou l’échec d’une
œuvre
. Il semblerait, dès lors, que leur autorité — sinon de droit, du moin
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public. Bien loin d’avoir à cœur de signaler les
œuvres
qui risqueraient, sans lui, d’être incomprises ou ignorées, il se con
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tation sur le Mystère ontologique est la première
œuvre
philosophique qu’il ait publiée depuis sa conversion. On est heureux
61
i au catholicisme après avoir écrit ses premières
œuvres
, et devenu l’un des chefs du parti catholique parmi les intellectuels
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e en 1813, et y mourut en 1855. Presque toute son
œuvre
, une vingtaine de volumes, à quoi nous pouvons ajouter dix-huit volum
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e belle aisance matérielle. Du secret il tira son
œuvre
; sa fortune, il la confia à l’un de ses frères, ne voulant pas avoir
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ait le meilleur écrivain de son pays. Sa première
œuvre
eut un immense succès ; mais à mesure qu’il se fit mieux comprendre,
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iel et les évêques qui avaient loué ses premières
œuvres
, il se vit abandonné dans la plus complète solitude qu’ait jamais con
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t l’homme. » Le sens réel et profond de toute son
œuvre
réside dans sa protestation à la fois violente et humble, ironique et
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un protestant pouvait trouver pareille formule… L’
œuvre
la plus profonde et la plus originale de Kierkegaard est son Concept
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st pas très étonnant, d’ailleurs. Il s’agit d’une
œuvre
allemande, d’un auteur inconnu en France jusqu’ici, d’un roman qui ve
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laisse à peine entrevoir le véritable sujet de l’
œuvre
, celui que désigne le titre. Ces six hommes63 ont été chassés de leur
70
e quelque chose de durable dans le monde, c’est l’
œuvre
d’un blanc. Les blancs seuls ont su créer des empires solides, des va
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étrange de cette nation. Mais j’ai dit que cette
œuvre
pourrait s’intituler tout aussi bien « La condition humaine ». C’est
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he, qui forment l’arrière-plan idéologique de son
œuvre
. Leurs manières de décrire des combats où, entre deux bandes de mitra
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firme qu’ils constituent le texte véritable d’une
œuvre
dont les volumes parus du vivant de Nietzsche ne seraient guère que l
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donner, nous restitue la totalité des thèmes de l’
œuvre
, sous une forme souvent beaucoup plus directe que celle qu’adopta Nie
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imaire qui régna sur le siècle dernier, et dont l’
œuvre
de Nietzsche a subi trop souvent les atteintes. Dans ce même livre, q
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d’une éblouissante vérité. 66. Onze volumes des
œuvres
complètes ! 67. Journal d’un homme de 40 ans (Grasset). z. Rougem
77
justification par la foi, qui est don gratuit et
œuvre
de Dieu seul ; opposition de cette justice de Dieu à la justice des h
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stice de Dieu à la justice des hommes et de leurs
œuvres
; opposition de la grâce à la nature, selon les termes de l’Apôtre ;
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de les faire siens puisqu’il croit au mérite des
œuvres
; et tous les protestants qui jugent encore que Calvin et Luther ont
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de contribuer à son salut par ses efforts et ses
œuvres
morales. Que trouveront-ils dès lors dans ce Traité ? Une verdeur de
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position qu’on lui faisait, en 1537, d’éditer ses
œuvres
complètes, le réformateur répondit : « Je ne reconnais aucun de mes l
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it au moins une sorte de conscience anxieuse de l’
œuvre
à faire, c’est ce que prouvent ses « encycliques » improvisées à la v
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avec toutes ses conséquences. Car la foi sans les
œuvres
n’est pas la foi. Note. — On s’étonnera peut-être de ne pas voir f
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avorables ? — Des milliers de mouvements sont à l’
œuvre
. Au premier rang, ceux des écologistes. On leur dispute ce nom, ils a