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quérant ; plutôt érotique qu’amoureux ; voué à un
orgueil
sans issue, puisque pour lui n’existe aucune transcendance où s’abîme
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ire la figure de l’homme moderne en proie au seul
orgueil
de vivre, dénonce la paresse de la religion qui n’est qu’un refuge co
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en plus fréquente chez les jeunes intellectuels :
orgueil
de la Vie, haine de cette vie-ci, mépris de la religion et ferveur po
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spose cet idéalisme ? se demande M. G. Marcel. L’
orgueil
tout d’abord, je n’hésite pas à le déclarer. On m’arrêtera en me fais
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rer. On m’arrêtera en me faisant observer que cet
orgueil
n’a pas un caractère personnel, puisque l’Esprit dont M. Brunschvicg
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jet. Comme il est déchirant en vérité, le chant d’
orgueil
que le siècle entonne pour annoncer son morne triomphe : « Vous n’ave
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si étrangement à une indifférence non dépourvue d’
orgueil
vis-à-vis du Seigneur ? L’on ne saurait ici exagérer la responsabilit
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dable mystère de Dieu devient, vu de l’extérieur,
orgueil
de la raison qui juge ce monde comme si Dieu n’existait pas, ou encor
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e au destin collectif, mais c’est peut-être votre
orgueil
qui parle ? Sur quelle vérité supérieure se fonde votre personnalisme
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eul contre la foule serait la marque d’un affreux
orgueil
, si d’abord elle ne témoignait d’un ridicule défaut de sens pratique.
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s au temple ; l’opinion unanime accablera son fol
orgueil
: n’a-t-il pas écrit que la presse est de nos jours l’obstacle décisi
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Réel, ne sont que poursuite du vent, défection ou
orgueil
fantastique. Le solitaire et les faux dieux Nous croyons à la f
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t se comparer qu’à la vocation qu’il reçoit. Où l’
orgueil
trouverait-il encore à se loger chez un être à ce point simplifié qu’