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té, mais seulement une erreur aggravée. De même l’
orthodoxie
ne sera jamais retrouvée en faisant une somme d’hérésies. Du conflit
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j’appellerai ouvertes. Elle ne peut embrasser une
orthodoxie
qui céderait consciemment à la tentation unitaire, c’est-à-dire qui t
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llerai les critiques que Karl Barth adressait à l’
orthodoxie
protestante du xviiie siècle : une certaine manière de proclamer le
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incipe d’unité apparaît humainement vérifiable, l’
orthodoxie
de l’Église se « ferme » sur elle-même. D’où les schismes nombreux, d
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a théologie de l’œcuménisme prévient d’une part l’
orthodoxie
fermée, d’autre part la dissidence obstinée, la philosophie de la per
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alable sur ces trois plans. L’œcuménisme exclut l’
orthodoxie
fermée, créatrice de schismes, et la dissidence obstinée. Le fédérali