1 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
1 té, mais seulement une erreur aggravée. De même l’ orthodoxie ne sera jamais retrouvée en faisant une somme d’hérésies. Du conflit
2 j’appellerai ouvertes. Elle ne peut embrasser une orthodoxie qui céderait consciemment à la tentation unitaire, c’est-à-dire qui t
3 llerai les critiques que Karl Barth adressait à l’ orthodoxie protestante du xviiie siècle : une certaine manière de proclamer le
4 incipe d’unité apparaît humainement vérifiable, l’ orthodoxie de l’Église se « ferme » sur elle-même. D’où les schismes nombreux, d
5 a théologie de l’œcuménisme prévient d’une part l’ orthodoxie fermée, d’autre part la dissidence obstinée, la philosophie de la per
6 alable sur ces trois plans. L’œcuménisme exclut l’ orthodoxie fermée, créatrice de schismes, et la dissidence obstinée. Le fédérali