1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
1 oi », ce maître de la pensée chrétienne tragique, paradoxale et virulente. Qu’une telle œuvre commence son action en France au mom
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
2 sais gré particulièrement d’éclairer cette vérité paradoxale , pour moi d’une importance psychologique considérable : que le bonheu
3 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
3 sche, son expression détournée dans l’affirmation paradoxale que les premiers seront les derniers, ou que la vraie noblesse réside
4 ut cela tend à créer dans l’âme une disponibilité paradoxale  : « parce que l’âme sait qu’elle n’est pas à elle-même, et que le seu
4 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
5 e ne peut jamais se dire chrétien. Cette position paradoxale a permis les interprétations les plus diverses. Elle assure aussi à s
5 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
6 s la pensée des hommes de ce temps. Tout le génie paradoxal et réaliste de Kierkegaard consiste à l’avoir dénoncée au plus intime
6 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
7 ar la foi est, selon Kierkegaard, cette opération paradoxale qui nous rend contemporains du Christ incarné, et qui nie par là même
7 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
8 celle du bon citoyen d’une fédération. La devise paradoxale du fédéralisme helvétique : « Un pour tous, tous pour un », est égale