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tous les buts de civilisation. C’est ainsi que la
pauvreté
, considérée par les civilisations spiritualistes comme le bien suprêm
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anes par exemple, le christianisme primitif) — la
pauvreté
est considérée de nos jours comme un mal absolu et honteux. C’est ain
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plus loin. ⁂ Ce qui frappe dès l’abord, c’est la
pauvreté
de la littérature alpestre en France. À part Sénancour, aucun de nos
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tériels. Ses larmes augmentèrent en pensant à la
pauvreté
de sentiments des chrétiens ; il pensait aussi que lui-même, à la fin
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primitif n’est-il pas, avant tout, le sens de la
pauvreté
? Qu’un Kagawa nous force à méditer chrétiennement le fait de la misè
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erre ingrate grandissent comme une dérision de la
pauvreté
maternelle, comme une caricature de la sécheresse à laquelle ils s’op
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refois participation de l’idéal évangélique de la
pauvreté
volontaire, c’est-à-dire de la notion de sacrifice, et, par ailleurs,
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christianisme a promis le royaume des cieux à la
pauvreté
spirituelle. Mais le premier chrétien cultivé et spirituel a donné au
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te, il a empêché le christianisme de mourir de sa
pauvreté
spirituelle. On est toujours étonné de voir un esprit de la trempe d
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tzsche se livrer à d’aussi grossières confusions (
pauvreté
en esprit, ou esprit de pauvreté, confondu ici avec bêtise). Mais c’e
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ères confusions (pauvreté en esprit, ou esprit de
pauvreté
, confondu ici avec bêtise). Mais c’est bien là la malhonnêteté du pos