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ous absorbons trop dans ce que nous faisons et ne
pensons
pas assez aux raisons que nous avons de le faire. Tout notre système
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avons voulu tenter sans lui une aventure que nous
pensions
gratuite : nous avons cherché le bonheur dans le développement matéri
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orale nécessaire aux affaires, tout ira bien. (On
pense
que les formes de la morale peuvent exister sans leur substance relig
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servir Dieu et Mammon », dit l’Écriture. ⁂ Je ne
pense
pas qu’une attitude réactionnaire qui consisterait à vouloir en reven
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termes avec netteté et courage. Pour le reste, je
pense
que c’est une question de foi. 1. Une enquête faite à Genève a rév
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per. Perken, dans ses conversations, fait parfois
penser
à ces gens — on en rencontre dans les affaires — qui se donnent une e
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nous paraît la seule entreprise légitime… — Nous
pensions
vie intérieure, quand il fallait penser dividendes, impérialisme, plu
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— Nous pensions vie intérieure, quand il fallait
penser
dividendes, impérialisme, plus-value. — Qui donc nous aurait révélé d
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s habitants, eux, viennent de tout l’Orient. « On
pense
à une Genève de l’islam. » Il semble, à lire notre auteur, que ce mél
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llongeait la solution », je ne puis m’empêcher de
penser
que cette peinture d’Aden est assez faite pour y contribuer : si gran
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ste carence d’un jugement qui se prétend humain !
Pensez
-y M. Nizan : quelle que soit la Tchéka régnante, il y aura toujours p
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e apparaît comme périmée. Avec M. Brunschvicg, il
pense
qu’un homme de 1931 a dépassé ce « stade », qu’il n’est plus permis d
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la sphère des abstractions les plus exsangues. Je
pense
quant à moi qu’un idéalisme de cette espèce est inévitablement coincé
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, celui, en somme, de l’imperfection du monde. Je
pense
que tout chrétien conscient des problèmes de ce temps, souscrirait au
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estant chez ces peintres ? — Certaines rigidités,
pensez
-vous, certaines austérités de style ? — On s’y serait attendu. Une vi
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liée à une conception dogmatique de la foi. Nous
pensons
même que la renaissance et l’épanouissement d’un tel art seront condi
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égénération ; et lorsqu’il dit spiritualité, nous
pensons
connaissance mystique. g. Rougemont Denis de, « Conférences du com
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faisait un bruit épouvantable dans sa course. Il
pensait
que c’eût été bien agréable si le wagon entier eût été de verre. À pa
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nt à la pauvreté de sentiments des chrétiens ; il
pensait
aussi que lui-même, à la fin du mois, devrait gagner sa pension et so
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is, devrait gagner sa pension et son écolage ; il
pensait
au sort de Tsukamoto ; à sa stupide petite sœur, à lui-même, et il éc
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it vu mourir Sanuki au logement ouvrier, et il ne
pensait
pas que la mort de son père fût particulièrement importante. Il avait
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e Hamlet, voyant la procession funèbre d’Ophélie,
pensa
Eiichi, il y avait la redoutable réalité, et il pleura de crainte et
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ssi inutiles que les procureurs passent leur vie,
pensait
Eiichi, il est impossible de ne pas leur témoigner de la sympathie. —
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ses actions journalières. Par là, il fait souvent
penser
aux grands Russes, à Tolstoï surtout. Et par tous les revirements int
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se » m’a toujours paru plus rude que saine. Je ne
pense
pas qu’il faille opposer aux suggestions d’un moraliste trop subtil l
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la critique de M. Albert Thibaudet, nous ont fait
penser
qu’il existe bel et bien un Loti vu de Genève, non pas sous la forme
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ainsi fouillées ? Je ne sais ; l’âme humaine, je
pense
, depuis qu’elle existe, n’a pas changé de nature, et, si elle paraiss
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lance voudrait que le nom de Dieu fût invoqué (je
pense
au testament de la mère par exemple), c’est au « sort » que l’on s’en
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Penser
dangereusement (juin 1932)s « L’esprit désintéressé est mort. » C’
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as de dire à ses contemporains qu’ils ont tort de
penser
ceci ou cela avec passion. Il faut encore leur donner d’autres objets
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à mêmes, de ceux-là justement qui refusèrent de «
penser
dangereusement ». Mais les marxistes n’y échapperont pas. Car celui q
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stes n’y échapperont pas. Car celui qui refuse de
penser
le péché, refuse d’envisager l’ultime et le plus « grossier » des dan
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veraient le contraire. s. Rougemont Denis de, «
Penser
dangereusement », Foi et Vie, Paris, juin 1932, p. 478-484.
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e, mais simplement parce que ces écrits faisaient
penser
. J’exagère à peine. La littérature de l’après-guerre, faite en grande
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x ou culturels, l’homme demeure cet être qui veut
penser
le monde. Incapable désormais de s’en distraire en le fuyant, il cher
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« Les Mœurs et l’Esprit des nations 41. » Et l’on
pense
au titre de cet album de photos paru récemment en Allemagne : « Weltg
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vent de fonds secrets. C’est à tout cela que l’on
pense
lorsqu’on nous parle du « désarroi actuel ». Croit-on vraiment que to
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les autres. Ma théorie est la suivante : ceux qui
pensent
que l’homme descend du singe, descendent en effet du singe et constit
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de de celui qui se réfugie dans l’Histoire42, qui
pense
par périodes séculaires, qui rêve et qui pour comble, se croit seul é
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problèmes qui se posent en fait. Mais que faut-il
penser
de ces techniques d’abstention ? ⁂ Tel est l’état des choses. Public
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t à l’école des penseurs ? On verrait éclater, je
pense
, l’absurdité d’une pensée inhumaine, en même temps que l’incohérence
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aux calculs de l’opportunisme. Quelques exaltés,
pensera-t
-on ? Quelques cyniques, ou quelques révoltés ? Certes, et c’est cela
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stait rien. L’argent provenait d’une malédiction,
pensait
-il, il l’avait donc dilapidé, surtout en dons. Sa vie était très simp
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foi, de l’autre, une mauvaise humeur, et certains
pensent
: une mauvaise conscience. Que disent les collectivistes ? Que le gra
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vaise humeur défensive des autres. Certes, on y a
pensé
. Les plus hardis parlent déjà de rendre sa place à « l’esprit »… Mais
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: « “Moi, je ne le puis pas.” Et s’il est fou de
penser
que tous doivent l’être, il est encore beaucoup plus fou qu’aucun ne
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uère que le commentaire. Je ne sais ce qu’il faut
penser
d’une allégation qui paraît à première vue aussi exorbitante : je n’a
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ruine de toutes les pauvres constructions où nous
pensions
pouvoir nous abriter contre son risque salutaire. M. Bolle a réparti
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roire. Le repentir ! Le remords ! Le chrétien ne
pense
pas à son prochain, il est beaucoup trop occupé de soi-même ! Quelle
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e, ont largement sauvé l’honneur de leur pays. Je
pense
aux ouvrages publiés par MM. Henri Strohl, J. Vignaud et Lucien Febvr
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imple rappel de l’ordre dans lequel le Traité fut
pensé
. Je tenterai donc d’esquisser, tout au moins, le dialogue d’une « co
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profonde stupidité, qui amène des éthologistes à
penser
que se manifeste, dans l’humanité d’aujourd’hui, une tendance suicida