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matériel n’y pourra rien, si radical soit-il. Un
pessimisme
aussi féroce que celui de MM. Malraux, Nizan, etc., ne laisse plus su
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st un bon outil qu’il nous faut. Ce n’est pas son
pessimisme
que je reproche à M. Thierry Maulnier. (Il serait fou de ne pas le pa
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dans ma jeunesse sous le titre de « politique du
pessimisme
actif »76, prenant ma devise au Taciturne. Si l’on me suivait, bien s