1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 à notre temps. II. M. Ford a ses idées, ou la philosophie de ceux qui n’en veulent pas Nous avons dit tout à l’heure quel fu
2 isfaction de nos besoins. » — Ford se moque de la philosophie . Il ne peut empêcher que son attitude ne porte un nom philosophique :
3 hommes. » C’est le bonheur, le salut par l’auto. Philosophie réclame. « Ce que j’ai à cœur, aujourd’hui, c’est de démontrer que le
4 fluent le plus sur notre civilisation, possède la philosophie la plus rudimentaire. Le phénomène n’est pas nouveau en Occident, mai
5 ue et pas dangereux du tout. On n’en fait pas une philosophie . Mais, sans qu’on s’en doute, cela en prend la place. Les facultés de
2 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
6 ner son morne triomphe. Certes, la plupart de nos philosophies , officiellement, l’ont renié. Mais pourquoi tant et toujours plus de
7 nschvicg dans Le Progrès de la conscience dans la philosophie occidentale, p. 695.) 8. Les humanités y trouveraient bien leur plac
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
8 caractère assez directement autobiographique. La philosophie de ce Garine, en effet, ressemblait singulièrement à celle que M. Mal
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
9 efuse à montrer aucune compensation : « l’art, la philosophie , la politique étant absents, faute d’emploi, il n’y avait aucune corr
10 yse trois attitudes typiquement sécularistes : la philosophie des lumières, celle de la technique, celle du primat de la Vie. Ce lu
11 cette espèce est inévitablement coincé entre une philosophie religieuse concrète d’une part, et le matérialisme historique de l’au
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
12 n, et il s’agit de la résoudre dans le sens d’une philosophie de la vie qui rende aux valeurs spirituelles leur primauté : car c’es
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
13 es, en particulier dans la Revue d’histoire et de philosophie religieuses de Strasbourg (Pascal et Kierkegaard), et dans la Revue d
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
14 belles nattes et de se plonger dans ses livres de philosophie . Il entendait une voix intérieure qui lui disait : « Si tu te mêles d
8 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
15 en, par exemple, à militer en faveur du marxisme, philosophie antichrétienne dans son essence, et par suite, dans l’action qu’elle
16 de notions dynamiques. Nietzsche réclamait une «  philosophie à coups de marteau ». Ce peut être le marteau du constructeur, aussi
17 oups d’épingle. Ce qu’il veut dégonfler, c’est la philosophie avec grand P, la doctrine officielle de la Sorbonne, cette pensée fab
18 qui sont posées ici, qui sont retournées ici. La philosophie présente qui dit et croit qu’elle se déroule au profit de l’homme, es
19 en faveur des hommes concrets ? À quoi sert cette philosophie  ? Que fait-elle pour les hommes ? Que fait-elle contre eux ? Selon M
20  ? Que fait-elle contre eux ? Selon M. Nizan, la philosophie régnante est caractérisée par son refus d’aborder les questions dites
21 t, une scandaleuse distance entre ce qu’énonce la philosophie et ce qui arrive aux hommes en dépit de sa promesse. » M. Brunschvicg
22 ence des pouvoirs ; on ne voit pas à quoi mène la philosophie sans matière, la philosophie sans rime ni raison » … « Il n’y a aucun
23 t pas à quoi mène la philosophie sans matière, la philosophie sans rime ni raison » … « Il n’y a aucune raison d’écarter ce genre d
24 . Mais dans la mesure, si faible soit-elle, où la philosophie actuelle exerce une action, ne fût-ce que sur les étudiants forcés de
25 en à l’endroit des résultats « humains » de toute philosophie .) Mais ensuite, et à notre tour, nous demanderons : que fait, que com
26 urgent. Je demande à M. Nizan si son appel à une philosophie vraiment humaine, dont les pensées concernent chaque homme dans chaqu
9 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
27 ui ne les lisent plus. Le public se figure que la philosophie est une activité qui ne le concerne pas. Il ne nie pas sa valeur intr
28 évident que cette phrase, en fait, supprime toute philosophie . Ou bien le primum vivere se trouve être réalisé, et quel besoin alor
29 des considérations sur cet acte ; ou c’est que la philosophie n’est qu’illusion et mystification. Une pensée vivante, une pensée qu
30 vons attendre qu’il fasse passer de l’air dans la philosophie française ; un de ceux pour lesquels philosopher ne figure pas l’acti
31 t, en 1934, un courage véritable pour utiliser en philosophie des motifs tels que le désespoir, l’espérance, la présence ou la fidé
32 que entre l’optimisme du progrès technique et une philosophie du désespoir, — autant de traits qui nous assurent que les problèmes
10 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
33 multiforme, et qui va croissant avec le temps. La philosophie allemande contemporaine, avec ses deux grands maîtres, Heidegger et J
34 ands maîtres, Heidegger et Jaspers, procède de sa philosophie de l’existence. La théologie barthienne se réclame de sa thèse princi
11 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
35 ans avant Nietzsche, partait en guerre contre la philosophie de l’Évolution selon Hegel, et dénonçait en elle non seulement un suc
12 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
36 vante : La théologie de l’œcuménisme implique une philosophie de la personne dont l’application est une politique du fédéralisme.
37 faire qu’à fusionner le plus tôt possible. 2. Philosophie de la personne Les positions œcuméniques que nous venons d’esquiss
38 e fermée, d’autre part la dissidence obstinée, la philosophie de la personne prévient d’une part le collectivisme oppressif, d’autr
39 cations politiques de cette théologie et de cette philosophie . 3. Politique du fédéralisme Nous en avons assez dit pour qu’il
40 organisation fédéraliste en politique. Quant à la philosophie de la personne, elle sera normalement celle du bon citoyen d’une fédé
41 f sérieux. 2. La théologie de l’œcuménisme, et la philosophie de la personne qu’elle implique, sont les seules bases actuellement c
42 D’autre part, la théologie de l’œcuménisme et la philosophie de la personne sont les seules bases actuellement existantes, et sur
43 militarisée. 5. La théologie de l’œcuménisme, la philosophie de la personne et la politique du fédéralisme sont seules en mesure,