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ion à celui du consommateur. Prenons cette petite
phrase
qui n’a l’air de rien : « Nul ne contestera que, si l’on abaisse suff
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ge d’un jeune normalien marxiste. Citons quelques
phrases
qui donneront le ton et les thèmes principaux : J’avais vingt ans. J
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en ces pages — et qui s’explique si l’on a lu la
phrase
par quoi se termine un précédent livre de notre auteur : « La veille
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ontraint déjà à des choix dramatiques ? Certaines
phrases
pourraient le laisser supposer qu’il écrivit en préface au livre réce
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sont trop gênantes. Le livre est mal composé. Ses
phrases
courtes se pressent en paragraphes hachés, sur un ton uniformément pé
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e je préfère au cinéma, ce sont les actualités. »
Phrase
mille fois entendue. Les journaux se couvrent de photos. La couvertur
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Cynisme ou naïveté ? Car il est évident que cette
phrase
, en fait, supprime toute philosophie. Ou bien le primum vivere se tro
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dernier mot est essentiel — ou, pour reprendre la
phrase
de Shakespeare, à une histoire racontée par un idiot » (p. 261). C’es
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ue. Et que disent alors les bourgeois ? Les mêmes
phrases
, à peu près, mais sans y croire, ou du moins sans prouver par le fait
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passé ou l’avenir. Un seul utile à tous La
phrase
de Carlyle est connue, résumant l’utilitarisme de Bentham : « Étant d
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ommunauté. Le « fait nation », dans les dernières
phrases
de Pillau, n’apparaît-il pas lié au seul malheur des hommes ? Et n’es
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nhauer, parce que grand-père l’a connu et aimé ?
Phrase
typique d’un homme qui n’a jamais rencontré Dieu en Christ ; pas plus
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our l’opinion moyenne sur Luther, je crois que la
phrase
suivante en donne une juste idée : « En somme, qu’est-ce que Luther ?