1 e de nos appréciations. Nous sommes naturellement portés à confondre notre bonheur avec notre bien, et à taxer d’immoralisme t

2 y avait pour elles une autre issue : la prière en portait l’expression, loin des oreilles des hommes, jusqu’au trône de Dieu. I

3 sur la terre et l’anime de tout l’effort qu’elle portait sur les choses invisibles. La vie, désormais sans au-delà, sans relat

4 er à ce trouble gâchis intérieur où Freud naguère porta l’impitoyable lumière de l’observation scientifique. Reflet du siècle

5 ntuer actuellement, la vérité ? N’est-ce point là porter un jugement avant tout partial, et qui révèle notre insuffisance auta

6 t, cette soif d’action directe et de service peut porter aussi bien, par exemple, à militer en faveur du marxisme, philosophie

7 ent qu’un des meilleurs critiques de ce temps51 a porté sur l’ensemble de ses écrits : Kierkegaard fut le dernier grand prot

8 « Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour oser porter la main sur Caïus Marius, telle est la vérité. Mais trois ou quatre f

9  sens social ». Plusieurs ouvrages de Kierkegaard portent cette dédicace fameuse : « Au solitaire que j’appelle avec joie et re

10 morale. Une question mal posée. Un regard trouble porté sur la réalité. x. Rougemont Denis de, « Nécessité de Kierkegaard »

11 Le destin de ces déracinés, ce sera désormais de porter en eux-mêmes l’image tragique de leur patrie, l’idée profonde de leur

12 évangélique, que les sophistes n’étaient que trop portés à corriger et à « humaniser », au risque d’« évacuer la Croix ». Tant