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le de vouloir être soi. Ayant ainsi esquissé ses
positions
éthiques, l’auteur part pour Aden. Quel n’est pas son étonnement de d
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e chrétien, que gît la faiblesse religieuse de sa
position
. Ce qui, plus que tout, fait défaut à ce génie, c’est le sens tragiqu
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tout de suite, ne comportent nulle allusion à la
position
politique de ce journal. Le titre : La Crise est dans l’homme 38, s’o
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ord et la Russie de Staline ; il adopte enfin une
position
assez voisine de celle de MM. Aron et Dandieu, sans aller jusqu’à prô
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a préface, se déclarer satisfait d’indiquer « des
positions
de résistance », une « ligne de retranchement ». Ce négativisme m’app
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on, comme si ce n’était pas là, déjà, prendre une
position
, mais à coup sûr, la pire ! Nous nous sommes laissés endormir. Nos ma
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nul homme ne peut jamais se dire chrétien. Cette
position
paradoxale a permis les interprétations les plus diverses. Elle assur
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r dans le néant. Seule la révolte du chrétien est
position
, obéissance. Si donc l’appel de Dieu isole du monde un homme, c’est q
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aïque de mesures désirables, mais au contraire sa
position
politique doit exprimer d’une façon nécessaire sa nature même. Ses dé
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possible. 2. Philosophie de la personne Les
positions
œcuméniques que nous venons d’esquisser enveloppent une doctrine de l
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société. Et de même que l’œcuménisme retrouve la
position
spirituelle centrale qui fonde l’union dans la diversité, nous avons
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union dans la diversité, nous avons à chercher la
position
philosophique centrale qui fonde la communion humaine dans la liberté
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’Église universelle esquissée plus haut ; la même
position
centrale définissant à la fois l’union et la diversité, l’engagement