1 , j’aperçus cette machine de route, jusqu’au jour présent , ma grande et constante ambition a été de construire une bonne machin

2 se à l’Ordre. « Ne vous conformez pas à ce siècle présent , mais soyez transformés », dit saint Paul. Le solitaire devant Dieu,

3 ut cela n’est rien que fuite devant notre éternel présent , et tout cela n’est que mythologie. Les dieux du siècle ont l’existen

4  ? C’est que la fuite des hommes devant l’instant présent se précipite. Ils n’ont pas lu Hegel, bien sûr, mais Hegel est dans t

5 anchir sera d’en revoir l’origine. Pour voiler le présent certain, ils hypothèquent le futur, mais pour gagner ce dernier gage,

6 nt Dieu » est aussi l’homme le plus réel, le plus présent . Parce qu’il sait qu’il existe un « ailleurs », et que l’éternité vie

7 somme, la valeur absolue de nos actions passées, présentes , futures, car elles sont dans le temps, Dieu dans l’Éternité qui est

8 passé ! Quand c’est elle seule qui définit notre présent  ! Est-ce que nos objections « philosophiques », et notre crainte du «

9 but dans la volonté et l’espérance œcuménique. Le présent essai n’a d’autre ambition que d’esquisser les grandes lignes de ce d

10 les vocations individuelles. La liberté du siècle présent se réclame du slogan utopique : à chacun sa chance. Mais la liberté e

11 faut d’abord nous le représenter, nous le rendre présent , l’anticiper. On peut anticiper l’avenir et le prévoir par les yeux d

12 rêts du passé profond ! — mais dans nos attitudes présentes . Si vous voulez prévenir tel désastre probable ou précisément calculé