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ntenu d’un nouvel humanisme, il est assez aisé de
prévoir
et de décrire une tentation qui le guette et à laquelle tout humanism
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ternel qui cependant est né et dont on ne saurait
prévoir
les avatars. Tout cela, disons-le nettement, est d’une singulière inc
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siècle, le destin des ismes, ne nous laisse rien
prévoir
d’autre qu’un monde chaotique hautement organisé, une monstrueuse agg
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sse qu’elle s’en formait… Tu affirmes que si Dieu
prévoit
tout, tu es alors dispensé d’agir, et que ce n’est plus la peine de f
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ne peut subsister normalement. Il ne reste donc à
prévoir
qu’un vide économique, idéologique et social sans précédent dans notr
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efforts actuels et prochains. Et peu m’importe de
prévoir
si la gauche ou la droite vont l’emporter — de toute façon, ce sera t
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préparer d’autres fins. Cette dialectique qui ne
prévoit
ni A ni B, mais incite à trouver des chemins vers V, je la vois déjà
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nt, l’anticiper. On peut anticiper l’avenir et le
prévoir
par les yeux de la foi, « substance des choses espérées, ferme assura