1 mmerciale nécessité. Ennui, fatigue, sommeil sans prière . Cela s’appelle encore vivre. Mais l’homme qui était un membre vivant

2 jour, il y avait pour elles une autre issue : la prière en portait l’expression, loin des oreilles des hommes, jusqu’au trône

3 ns compris que la santé est dans l’humilité de la prière , dans la reconnaissance éperdue de notre incapacité à faire par nous-

4 écrit par M. Marcel trouverait sa place, entre la prière et l’acte, seuls moments d’unité dans la vie du chrétien. v. Rougem

5 e le croyant pressent et vit au seul moment de la prière . « Demandez et l’on vous donnera », dit le même Dieu qui nous prédest

6 ement, adresse à Dieu, au nom de sa promesse, une prière précise et instante, ne vit-il pas ce paradoxe et ce mystère : croire