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sément. Ce qui manque à l’homme moderne, c’est un
principe
d’harmonie qui lui garantisse le caractère « d’humanité » de ses déma
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téresse, l’artiste a besoin plus que quiconque de
principes
définis — je ne dis pas de cadres — qui lui servent de thèmes dans se
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plus vite de cet horrible endroit et de jeter les
principes
philanthropiques à tous les vents ; de rentrer bien vite dans sa mais
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amais de démolir, mais bien plutôt de dénoncer un
principe
destructeur. C’est au nom d’une foi positive que l’on attaque ici le
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rotestantisme, p. 102, et tout le chapitre sur le
Principe
d’humilité. Également : Jean de Saussure : À l’École de Calvin, passi
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comme devant la « révélation divine du plus haut
principe
de la morale », tout en vénérant également le soleil, comme une « rév
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it plus efficace si on la sentait inspirée par un
principe
spirituel capable de rendre une force offensive à cette personne huma
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ance désintéressée, nous ne trouvons jamais aucun
principe
qui unifie. Mais, au contraire, dès que nous nous posons la question
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on découvre dans la société humaine repose sur le
principe
démissionnaire par excellence du déterminisme, qui peut se formuler a
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sement de ces mythes. On a cru trouver en eux les
principes
d’une communauté nouvelle que l’individualisme avait dissoute. Il n’y
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t l’on a tenté de l’améliorer, conformément à des
principes
indiscutés de morale chrétienne et naturelle. Or le réformisme moral
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nt traduire en termes d’organisation pratique les
principes
qui sont impliqués dans la vision de l’œcuménisme. Rien que cela, mai
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ur organisation ou leur doctrine particulière. Au
principe
d’union transcendant qui assure la permanence de l’Église universelle
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es ont ajouté, et peu à peu substitué en fait, un
principe
d’unité immanent, c’est-à-dire humainement contrôlable. C’est la form
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st la formule même de la tyrannie. Car, contre un
principe
d’unité immanent, mais pratiquement puis théoriquement absolutisé, il
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er humainement des Écritures. Car aussitôt que le
principe
d’unité apparaît humainement vérifiable, l’orthodoxie de l’Église se
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Une Église qui prétend se suffire et posséder son
principe
d’unité, une Église qui tend à se fermer par le haut pour mieux assur
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cendance, il y a mieux qu’un équilibre, il y a un
principe
vivant d’union. Là où est l’Esprit, là est la liberté, mais là aussi