1 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
1 sément. Ce qui manque à l’homme moderne, c’est un principe d’harmonie qui lui garantisse le caractère « d’humanité » de ses déma
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
2 téresse, l’artiste a besoin plus que quiconque de principes définis — je ne dis pas de cadres — qui lui servent de thèmes dans se
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
3 plus vite de cet horrible endroit et de jeter les principes philanthropiques à tous les vents ; de rentrer bien vite dans sa mais
4 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
4 amais de démolir, mais bien plutôt de dénoncer un principe destructeur. C’est au nom d’une foi positive que l’on attaque ici le
5 rotestantisme, p. 102, et tout le chapitre sur le Principe d’humilité. Également : Jean de Saussure : À l’École de Calvin, passi
5 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
6 comme devant la « révélation divine du plus haut principe de la morale », tout en vénérant également le soleil, comme une « rév
6 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
7 it plus efficace si on la sentait inspirée par un principe spirituel capable de rendre une force offensive à cette personne huma
7 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
8 ance désintéressée, nous ne trouvons jamais aucun principe qui unifie. Mais, au contraire, dès que nous nous posons la question
9 on découvre dans la société humaine repose sur le principe démissionnaire par excellence du déterminisme, qui peut se formuler a
10 sement de ces mythes. On a cru trouver en eux les principes d’une communauté nouvelle que l’individualisme avait dissoute. Il n’y
8 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
11 t l’on a tenté de l’améliorer, conformément à des principes indiscutés de morale chrétienne et naturelle. Or le réformisme moral
12 nt traduire en termes d’organisation pratique les principes qui sont impliqués dans la vision de l’œcuménisme. Rien que cela, mai
13 ur organisation ou leur doctrine particulière. Au principe d’union transcendant qui assure la permanence de l’Église universelle
14 es ont ajouté, et peu à peu substitué en fait, un principe d’unité immanent, c’est-à-dire humainement contrôlable. C’est la form
15 st la formule même de la tyrannie. Car, contre un principe d’unité immanent, mais pratiquement puis théoriquement absolutisé, il
16 er humainement des Écritures. Car aussitôt que le principe d’unité apparaît humainement vérifiable, l’orthodoxie de l’Église se
17 Une Église qui prétend se suffire et posséder son principe d’unité, une Église qui tend à se fermer par le haut pour mieux assur
18 cendance, il y a mieux qu’un équilibre, il y a un principe vivant d’union. Là où est l’Esprit, là est la liberté, mais là aussi