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avec raison ? D’ailleurs, si je vois bien que le
propos
de M. Nizan n’est pas de nous rendre le goût de ce qui, en Europe, «
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nlassablement M. Gide25. Seulement, celui qui, de
propos
délibéré, veut perdre sa vie, et non pas pour Christ, mais pour la re
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nature toute française. M. Thibaudet ajoute à ce
propos
: On m’a fait observer très justement, à l’époque, que j’oubliais Lo
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gris profonds). Un critique fort écouté29, à son
propos
, fit observer que les romanciers protestants montrent de préférence l
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ompétent. De là cette multitude d’écrits, dont le
propos
général est d’élucider les causes lointaines ou prochaines de la cris
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e la planète. Et c’est ici que j’en reviens à mon
propos
initial. Quels que soient les bouleversements sociaux ou culturels, l
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qui il fut, qui il est. Certains ont parcouru les
Propos
de table, présentés au public français comme un ouvrage capital : ils