1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
1 aussi complet que possible d’artistes nés dans le protestantisme . Et l’on pourra se demander alors : qu’y a-t-il de spécifiquement pro
2 : il faut qu’on sache sans équivoque ce qu’est le protestantisme avant de pouvoir trancher de ce que doit être un art qui l’exprime. E
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
3 de la foi scandaleux de parler de conversion d’un protestantisme au catholicisme ou l’inverse. On ne se convertit pas à quelque chose.
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
4 alé et qui aura un profond retentissement dans le protestantisme en particulier. Depuis quelques années, le nom de Kierkegaard reparaî
5 qu’aux Provinciales. Kierkegaard est le Pascal du protestantisme , et il est caractéristique à la fois du monde du catholicisme et du m
6 à la fois du monde du catholicisme et du monde du protestantisme , que la polémique et la satire qui sévirent, dans le premier, dès ses
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
7 moin (protestari), jamais Gide n’est plus loin du protestantisme que dans cette attitude sereinement contradictoire, où il voit l’esse
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
8 Le protestantisme jugé (octobre 1931)p Parlant récemment, dans un article des Nouve
9 ir en Dieu, p. 264. p. Rougemont Denis de, « Le protestantisme jugé », Foi et Vie, Paris, octobre 1931, p. 751-754.
6 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
10 volontiers, n’en constituent pas moins pour notre protestantisme un jugement indirect d’une impitoyable et significative sévérité. Et
11 non toujours en droit, l’héritage intellectuel du protestantisme du xixe siècle se réduit, aux yeux de nos contemporains, à un morali
12 ses traits spécifiques. On peut donc poser que le protestantisme de la fin du xixe siècle, tel que nos contemporains se le représente
13 provoqua le moralisme perverti. Il eût conduit le protestantisme à la négation absolue de son essence35, si l’humanité ne possédait d’
14 s’agit pas d’édulcorer. 35. Cf. A.-N. Bertrand, Protestantisme , p. 102, et tout le chapitre sur le Principe d’humilité. Également :