1 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
1 la possibilité scandaleuse des actes libres de la Providence . Entreprise effroyable et vaine, qui serait d’un comique insondable s
2 comment et pourquoi ?) nos désirs. Cette sorte de providence brute tout à fait inintelligible est le simple succédané de l’intelli
3 ligible est le simple succédané de l’intelligible providence surnaturelle.61 » Mais qui ne voit que cette Âme du Monde le tient au
4 re. Et comment vivrait-il sinon par l’appel de la Providence  ? Et comment se rendre à l’appel, si l’on pose ses conditions : « l’i
5 l, si l’on pose ses conditions : « l’intelligible providence surnaturelle ! ». Toute-puissance des mythes ! « Le meilleur moyen de
2 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
6 lle non seulement un succédané païen de l’idée de Providence , mais surtout une négation de la foi ? Car la foi est, selon Kierkega
3 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
7 dorer un Destin muet, tandis que nous adorons une Providence dont la Parole vivante s’est incarnée : « Emmanuel ! » — Dieu avec no