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joute à cela le plaisir qu’on éprouve toujours au
récit
de succès mirobolants, et le charme un peu facile mais fort goûté du
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ccident. La Voix royale 9, est, croyons-nous, le
récit
des événements qui précédèrent l’aventure chinoise de l’auteur. C’est
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ain. Ce mystère qui entoure Perken durant tout le
récit
, au travers des aventures des deux explorateurs aux prises avec les f
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t pas uniquement « romanesque » — le mouvement du
récit
se ralentit, au contraire, fâcheusement en ces pages — et qui s’expli
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ros, Eiichi, est évidemment l’auteur lui-même, le
récit
de l’adolescence et de la jeunesse de notre héros ; mais ce récit pre
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scence et de la jeunesse de notre héros ; mais ce
récit
prend fin au moment où Kagawa débouche dans la vie publique et politi
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s les premières pages, c’est l’extrême minutie du
récit
. Les auteurs qui écrivent leurs mémoires s’attachent d’ordinaire aux
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Eiichi d’avoir prêté son appui à une grève, et le
récit
se termine par une scène entre le procureur et le prévenu, qui vaut d
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ité. C’est toujours à l’effarante sincérité de ce
récit
qu’il faut revenir, si l’on veut d’un mot le caractériser. Parmi les
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i, c’est de voir le reste du chapitre consacré au
récit
des actes qu’immédiatement Eiichi produit en témoignage de sa convers
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, qualité dont Gide aime à douer les héros de ses
récits
, mais dont lui-même se révèle dépourvu dans une mesure qui est celle,
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ine. Je crois que ce qui me plaît surtout dans ce
récit
frémissant, c’est sa noblesse. Les faiblesses, les abandons, les déch