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le nous risquons de périr. Il se prépare déjà des
révoltes
terribles4, celles d’un mysticisme exaspéré, devenu presque fou dans
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Illustration, 20 novembre 1926. 4. Ici et là, la
révolte
perce : « Jugendbewegung » en Allemagne ; surréalisme en France, en A
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admirable et atroce où éclate douloureusement la
révolte
d’un être pour qui la mort ne peut être qu’une « défaite monstrueuse
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is pourquoi dira-t-on, s’arrêter à ces cris d’une
révolte
égarée par la haine ? C’est qu’ils caractérisent une attitude de plus
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grandissent de jour en jour en même temps que sa
révolte
contre ce monde. Il se convertit enfin, brusquement, au moment où il
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terme : tendance stoïcienne ; soit des œuvres de
révolte
contre cette morale — tendance nietzschéenne. Tout ceci ne participan
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i, par la force des choses, tournerait bientôt en
révolte
, en insolence, en démence : Nietzsche. Ainsi l’atmosphère moraliste a
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un « protestant qui écrit » ne saurait être qu’en
révolte
contre la foi de ses pères. Le jeu consiste uniquement à retrouver da
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ure des illusions et la dégradation du sens de la
révolte
. L’histoire du monde, bien loin d’être l’histoire d’un progrès contin
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pale, c’est que toute notre idéologie, toutes nos
révoltes
, toute notre attitude pratique s’expliquent d’une manière suffisante
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i échappent à notre volonté et sur lesquelles nos
révoltes
sont sans prise, puisque ces révoltes sont elles-mêmes prévues et dét
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quelles nos révoltes sont sans prise, puisque ces
révoltes
sont elles-mêmes prévues et déterminées par notre classe [ou] notre r
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ieu que l’homme des masses vit dans l’attente, la
révolte
et l’impuissance. Je pourrais encore vous montrer quelles conséquence
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’Évangile, il y a tout au contraire une sournoise
révolte
de l’homme naturel, une poussée de ressentiment contre l’héroïsme chr
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’avait vu, une haine des hommes ; bien plus : une
révolte
contre Dieu. L’homme du ressentiment, ce n’est pas le chrétien, c’est
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volonté de quelques-uns n’y changera rien. Que la
révolte
, enfin, d’un seul contre la foule serait la marque d’un affreux orgue
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peut dérober, mais c’est une triste réponse à la
révolte
de ces pauvres qu’on redoute plus qu’on ne les aime… Si l’on voulait
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chie, d’individualisme, on ne parle jamais que de
révolte
, mais d’une révolte, en fin de compte, imaginaire. Car l’ordre de ce
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me, on ne parle jamais que de révolte, mais d’une
révolte
, en fin de compte, imaginaire. Car l’ordre de ce monde est lui-même e
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aginaire. Car l’ordre de ce monde est lui-même en
révolte
contre l’ordre reçu de Dieu, qui sera l’Ordre du Royaume. Et nier une
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égation, c’est s’enfoncer dans le néant. Seule la
révolte
du chrétien est position, obéissance. Si donc l’appel de Dieu isole d
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haine de l’existence et selon sa misère ». Cette
révolte
n’est pas fondée dans la transformation effective du monde. Elle part
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que. Ses héros subissent, avec un héroïsme et une
révolte
plus émouvants d’être silencieux, des tortures dont les héros de Malr
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e Karl Marx. En vertu de cet acte de foi, fait en
révolte
contre la vraie foi, ils se persuadent que l’humanité sera meilleure,
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e par un acte qui crée ma liberté, par un acte de
révolte
, s’il le faut ! L. — Tu crois donc détenir un tel pouvoir ? C. M. —
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n’est pas !70 », qui t’assurerait que cet acte de
révolte
échappe à l’éternelle Prévision ? Qui t’assurerait qu’en prononçant c
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très moraux, et même très pieux, qu’invoque notre
révolte
… Réalité radicale du problème Dans l’Église, une fois acceptés