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s ce que nous faisons et ne pensons pas assez aux
raisons
que nous avons de le faire. Tout notre système de concurrence, tout n
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he de Ford : « Inutile, donc à détruire. » Ford a
raison
, une fois de plus. Pas de compromis possible de ce côté. Mais du nôtr
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l’humanité. On n’en saurait dire autant de notre
raison
. Les faits mystiques — qu’on les prenne en l’état brut où notre pensé
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nt — ce que la « rationalisation » aura laissé de
Raison
à l’Occident, avec certains secrets de la méditation hindoue. Rêves,
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us-value. — Qui donc nous aurait révélé de bonnes
raisons
brutales, de bonnes raisons humaines, de nous intéresser à l’Asie : l
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rait révélé de bonnes raisons brutales, de bonnes
raisons
humaines, de nous intéresser à l’Asie : les grèves à Bombay, les révo
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cielle que le lâche idéalisme qu’elle combat avec
raison
? D’ailleurs, si je vois bien que le propos de M. Nizan n’est pas de
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sectionnement, il aura beau se recommander de la
Raison
ou de l’Esprit, nous resterons inquiets, d’autant que, s’il ne s’inte
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u’il a donnée à la traduction française note avec
raison
que M. Baring se montre « quelque peu inexorable dans la libéralité a
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e, à mesure qu’on avance, l’on comprend mieux les
raisons
de la popularité d’une telle œuvre : c’est toute la vie du Japon actu
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es preuves. Non seulement Gide a presque toujours
raison
de ses juges, mais il sait avoir raison comme en s’excusant. Il appor
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toujours raison de ses juges, mais il sait avoir
raison
comme en s’excusant. Il apporte les plus délicats scrupules à sa just
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ant ». À la réflexion, l’on y a renoncé, pour des
raisons
d’ordre général et comme indépendantes des auteurs et des œuvres. Dél
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es d’un d’Aubigné. Aussi bien avons-nous d’autres
raisons
d’espérer. Car si la forme artistique adéquate au libéralisme fut l’a
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ien-aimé. C’est vous dire que j’ai acquis plus de
raison
et d’expérience : la crainte du Seigneur est le commencement de la sa
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se. Ce qui à l’origine, n’était qu’humilité de la
raison
devant l’insondable mystère de Dieu devient, vu de l’extérieur, orgue
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de Dieu devient, vu de l’extérieur, orgueil de la
raison
qui juge ce monde comme si Dieu n’existait pas, ou encore : comme si
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nt de vue d’un parti. Il n’est pas païen, pour la
raison
péremptoire qu’il n’y a plus de païen, au sens antique du mot, depuis
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quelque chose » aux yeux de la foi, constitue sa
raison
d’être. Il n’y a pas de neutralité du monde vis-à-vis de Dieu — à cau
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gument pour nul parti, ne saurait, pour les mêmes
raisons
, servir d’objet à notre jugement. Bien plutôt c’est lui qui nous juge
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» ou « païen » ? Nous n’avons pas besoin d’avoir
raison
(contre lui, contre les athées) ; nous n’avons pas besoin d’avoir bea
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pas en tant que bourgeois, s’ils le sont, ont des
raisons
réelles et valables de récuser une pensée et une action tout entières
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osophie sans matière, la philosophie sans rime ni
raison
» … « Il n’y a aucune raison d’écarter ce genre de questions. Il n’y
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osophie sans rime ni raison » … « Il n’y a aucune
raison
d’écarter ce genre de questions. Il n’y a aucune raison de ne pas leu
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d’écarter ce genre de questions. Il n’y a aucune
raison
de ne pas leur donner de réponses ». Au fond, M. Nizan reproche à nos
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à notre situation concrète, M. Nizan a tellement
raison
que son entreprise est suffisamment justifiée. Pour le reste, c’est l
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ontinent ; l’Amérique s’enrichir au-delà de toute
raison
européenne, puis s’affoler, entrer en décadence, et rêver à son tour
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in ; dans la mesure où chacun de nous possède une
raison
d’être, quelle qu’elle soit, une servitude particulière, une passion
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ndignent de ce reproche. Ils nous répondent, avec
raison
, que leur action n’a pas les apparences d’une évasion, d’une démissio
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qu’ils ont tort de se disputer, parce qu’ils ont
raison
les uns et les autres. Ma théorie est la suivante : ceux qui pensent
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, un homme sans destin, un homme sans vocation ni
raison
d’être, un homme dont le monde n’exigeait rien. Cet être-là, fataleme
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utopie. Ils sont là, et ils ont probablement leur
raison
d’être. La classe, la race, jouent dans le monde le même rôle que l’i
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ncrète, mais connaissant aussi leur dignité, leur
raison
d’être personnelle ? Voulons-nous être des personnes ? Voilà le mot l
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moigne un passage de ce genre. Mais si l’on donne
raison
à sa description du ressentiment — ce que je fais pour ma part sans r
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pour telles en vertu d’une idée de l’homme que la
raison
païenne admet fort bien : nietzschéisme agressif, ou désespoir du dém
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r d’insister sur un tel rétablissement. Pour deux
raisons
, je crois. Qui, d’abord, parmi nous, oserait affirmer que cette « cat
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espect de la vérité, soupçonnée, non sans quelque
raison
, d’être parfois « antivitale » ? — « Pensée insupportable aux hommes
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es efforts de la religion s’ajoutant à ceux de la
raison
), et d’un christianisme absolu, qu’on déclare volontiers « inhumain »
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savons-nous de l’éternité ? Les philosophes et la
raison
ne peuvent l’imaginer que morte. Mais la Bible nous dit qu’elle est l
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t Paul) (I Cor. 15 : 52) ? Qui t’assure que notre
raison
, tout attachée à notre chair, à notre temps où elle s’est constituée,
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’est un mystère plus profond que notre vie, et la
raison
n’est qu’un faible élément de notre vie. C’est un mystère que le croy
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stique. Il n’en reste pas moins qu’aux yeux de la
raison
— cette folle comme le répète Luther —, ce que nous nommons ici un pa
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s’il se confond d’abord avec l’intelligence et la
raison
, ne tarde pas à affaiblir le lien social. Il s’oriente vers l’anarchi
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eure, elle sera suffisante. Aussi bien, certaines
raisons
de croire que l’Église peut agir, raisons que nous allons énumérer, s
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rtaines raisons de croire que l’Église peut agir,
raisons
que nous allons énumérer, sont-elles moins destinées à combattre des
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va réaliser mon plan. À vrai dire, il y a toutes
raisons
de redouter que personne ne s’en charge en tant que représentant d’un
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unesse. Les hommes d’État ne feront rien, pour la
raison
que je viens de dire, et les politiciens moins encore, pour la raison
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de dire, et les politiciens moins encore, pour la
raison
que les régions n’existent pas, ou seulement à l’état de nécessités v
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coutons Baudelaire : Le monde va finir. La seule
raison
pour laquelle il pourrait durer, c’est qu’il existe. Que cette raison
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il pourrait durer, c’est qu’il existe. Que cette
raison
est faible, comparée à toutes celles qui annoncent le contraire, part
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hn, qui voit nos États-nations, ayant perdu leurs
raisons
d’être, bientôt remplacés par une « communauté plus effective », l’Eu
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personne, au nom de quoi refuser le verdict de la
Raison
d’État, quand il tombe de l’ordinateur bien programmé ? Puissance ou