1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 s ce que nous faisons et ne pensons pas assez aux raisons que nous avons de le faire. Tout notre système de concurrence, tout n
2 he de Ford : « Inutile, donc à détruire. » Ford a raison , une fois de plus. Pas de compromis possible de ce côté. Mais du nôtr
2 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
3 l’humanité. On n’en saurait dire autant de notre raison . Les faits mystiques — qu’on les prenne en l’état brut où notre pensé
4 nt — ce que la « rationalisation » aura laissé de Raison à l’Occident, avec certains secrets de la méditation hindoue. Rêves,
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
5 us-value. — Qui donc nous aurait révélé de bonnes raisons brutales, de bonnes raisons humaines, de nous intéresser à l’Asie : l
6 rait révélé de bonnes raisons brutales, de bonnes raisons humaines, de nous intéresser à l’Asie : les grèves à Bombay, les révo
7 cielle que le lâche idéalisme qu’elle combat avec raison  ? D’ailleurs, si je vois bien que le propos de M. Nizan n’est pas de
8 sectionnement, il aura beau se recommander de la Raison ou de l’Esprit, nous resterons inquiets, d’autant que, s’il ne s’inte
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
9 u’il a donnée à la traduction française note avec raison que M. Baring se montre « quelque peu inexorable dans la libéralité a
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
10 e, à mesure qu’on avance, l’on comprend mieux les raisons de la popularité d’une telle œuvre : c’est toute la vie du Japon actu
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
11 es preuves. Non seulement Gide a presque toujours raison de ses juges, mais il sait avoir raison comme en s’excusant. Il appor
12 toujours raison de ses juges, mais il sait avoir raison comme en s’excusant. Il apporte les plus délicats scrupules à sa just
7 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
13 ant ». À la réflexion, l’on y a renoncé, pour des raisons d’ordre général et comme indépendantes des auteurs et des œuvres. Dél
14 es d’un d’Aubigné. Aussi bien avons-nous d’autres raisons d’espérer. Car si la forme artistique adéquate au libéralisme fut l’a
8 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
15 ien-aimé. C’est vous dire que j’ai acquis plus de raison et d’expérience : la crainte du Seigneur est le commencement de la sa
16 se. Ce qui à l’origine, n’était qu’humilité de la raison devant l’insondable mystère de Dieu devient, vu de l’extérieur, orgue
17 de Dieu devient, vu de l’extérieur, orgueil de la raison qui juge ce monde comme si Dieu n’existait pas, ou encore : comme si
18 nt de vue d’un parti. Il n’est pas païen, pour la raison péremptoire qu’il n’y a plus de païen, au sens antique du mot, depuis
19  quelque chose » aux yeux de la foi, constitue sa raison d’être. Il n’y a pas de neutralité du monde vis-à-vis de Dieu — à cau
20 gument pour nul parti, ne saurait, pour les mêmes raisons , servir d’objet à notre jugement. Bien plutôt c’est lui qui nous juge
21  » ou « païen » ? Nous n’avons pas besoin d’avoir raison (contre lui, contre les athées) ; nous n’avons pas besoin d’avoir bea
9 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
22 pas en tant que bourgeois, s’ils le sont, ont des raisons réelles et valables de récuser une pensée et une action tout entières
23 osophie sans matière, la philosophie sans rime ni raison  » … « Il n’y a aucune raison d’écarter ce genre de questions. Il n’y
24 osophie sans rime ni raison » … « Il n’y a aucune raison d’écarter ce genre de questions. Il n’y a aucune raison de ne pas leu
25 d’écarter ce genre de questions. Il n’y a aucune raison de ne pas leur donner de réponses ». Au fond, M. Nizan reproche à nos
26 à notre situation concrète, M. Nizan a tellement raison que son entreprise est suffisamment justifiée. Pour le reste, c’est l
10 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
27 ontinent ; l’Amérique s’enrichir au-delà de toute raison européenne, puis s’affoler, entrer en décadence, et rêver à son tour
11 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
28 in ; dans la mesure où chacun de nous possède une raison d’être, quelle qu’elle soit, une servitude particulière, une passion
29 ndignent de ce reproche. Ils nous répondent, avec raison , que leur action n’a pas les apparences d’une évasion, d’une démissio
30 qu’ils ont tort de se disputer, parce qu’ils ont raison les uns et les autres. Ma théorie est la suivante : ceux qui pensent
31 , un homme sans destin, un homme sans vocation ni raison d’être, un homme dont le monde n’exigeait rien. Cet être-là, fataleme
32 utopie. Ils sont là, et ils ont probablement leur raison d’être. La classe, la race, jouent dans le monde le même rôle que l’i
33 ncrète, mais connaissant aussi leur dignité, leur raison d’être personnelle ? Voulons-nous être des personnes ? Voilà le mot l
12 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
34 moigne un passage de ce genre. Mais si l’on donne raison à sa description du ressentiment — ce que je fais pour ma part sans r
13 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
35 pour telles en vertu d’une idée de l’homme que la raison païenne admet fort bien : nietzschéisme agressif, ou désespoir du dém
36 r d’insister sur un tel rétablissement. Pour deux raisons , je crois. Qui, d’abord, parmi nous, oserait affirmer que cette « cat
14 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
37 espect de la vérité, soupçonnée, non sans quelque raison , d’être parfois « antivitale » ? — « Pensée insupportable aux hommes 
15 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
38 es efforts de la religion s’ajoutant à ceux de la raison ), et d’un christianisme absolu, qu’on déclare volontiers « inhumain »
39 savons-nous de l’éternité ? Les philosophes et la raison ne peuvent l’imaginer que morte. Mais la Bible nous dit qu’elle est l
40 t Paul) (I Cor. 15 : 52) ? Qui t’assure que notre raison , tout attachée à notre chair, à notre temps où elle s’est constituée,
41 ’est un mystère plus profond que notre vie, et la raison n’est qu’un faible élément de notre vie. C’est un mystère que le croy
42 stique. Il n’en reste pas moins qu’aux yeux de la raison — cette folle comme le répète Luther —, ce que nous nommons ici un pa
16 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
43 s’il se confond d’abord avec l’intelligence et la raison , ne tarde pas à affaiblir le lien social. Il s’oriente vers l’anarchi
44 eure, elle sera suffisante. Aussi bien, certaines raisons de croire que l’Église peut agir, raisons que nous allons énumérer, s
45 rtaines raisons de croire que l’Église peut agir, raisons que nous allons énumérer, sont-elles moins destinées à combattre des
17 1977, Foi et Vie, articles (1928–1977). Pédagogie des catastrophes (avril 1977)
46 va réaliser mon plan. À vrai dire, il y a toutes raisons de redouter que personne ne s’en charge en tant que représentant d’un
47 unesse. Les hommes d’État ne feront rien, pour la raison que je viens de dire, et les politiciens moins encore, pour la raison
48 de dire, et les politiciens moins encore, pour la raison que les régions n’existent pas, ou seulement à l’état de nécessités v
49 coutons Baudelaire : Le monde va finir. La seule raison pour laquelle il pourrait durer, c’est qu’il existe. Que cette raison
50 il pourrait durer, c’est qu’il existe. Que cette raison est faible, comparée à toutes celles qui annoncent le contraire, part
51 hn, qui voit nos États-nations, ayant perdu leurs raisons d’être, bientôt remplacés par une « communauté plus effective », l’Eu
52 personne, au nom de quoi refuser le verdict de la Raison d’État, quand il tombe de l’ordinateur bien programmé ? Puissance ou